Maëva Squiban : qui est le compagnon (pas inconnu) de la star du Tour de France ?
Coureuse incontournable du Tour de France, Maëva Squiban partage la vie d’une personnalité bien connue des amateurs de cyclisme.
Et si la 4e édition du Tour de France Femmes tenait déjà sa grande championne ? Maëva Squiban s’est imposée parmi les cyclistes incontournables de la compétition. A seulement 23 ans, la jeune femme a remporté haut la main les 6e et 7e étape du Tour. Il s’agit de la première Française à accomplir cette performance.
Originaire de Brest, Maëva Squiban a vu le jour le 19 mars 2002. Ses parents lui donnent le goût du vélo à l’âge de 13 ans lorsqu’il lui offrent un VTT. Au début, il s’agit simplement de “battre les copains le dimanche“. Le jeu dominical devient très vite une passion sérieuse pour l’adolescente rivée à un guidon qu’elle ne quitte plus.
Maëva Squiban : quel homme partage la vie de la star du Tour de France ?
Cette fervente passion justement, la nouvelle star du cyclisme féminin la partage avec son compagnon, Benjamin Didou. Le jeune homme de 25 ans qui partage sa vie occupe le poste de Directeur de course pour l’association AC4B, en Charente. En parallèle de ses activités sportives, il exerce la profession de commercial BtoB pour le compte d’un grossiste en fruits et légumes basé à la fois dans le Var et les Alpes-Maritimes, apprend-on sur sa page Linkedin.
Au sein d’AC4B, Benjamin Didou s’occupe du développement des épreuves, mais également de la gestion des partenariats tant publiques que privé. Il se charge également de l’animation des réseaux sociaux de l’association, de la gestion du budget et de l’administratif en lien avec la préfecture et les collectivités.
Maëva Squiban : cette région qui lui tient à coeur
Si elle vit avec son compagnon dans les environs de Draguignan (Var), Maëva Squiban reste profondément attachée à la Bretagne. C’est d’ailleurs dans un club de Gouesnou (Finistère) qu’elle a fait son apprentissage du cyclisme. Aussi la jeune femme ne manque-t-elle pas de se ressourcer dès qu’elle le peut au bord de l’Atlantique.
“Quand je reviens, j’aime justement reprendre pied à Bohars, où vit ma famille. Pour moi, en matière de cyclisme, j’aime vivre ici parce que cela m’offre la possibilité de rouler vers des coins superbes comme la route touristique de Porspoder ou les monts d’Arrée“, confie-t-elle dans une interview accordée à Sillage, magazine de la métropole de Brest.