"J'ai l'impression d'être rte, je déteste ça", Helena Bailly ce qu'elle ne supporte plus dans sa colocation

Helena Bailly : quand les bougies deviennent un cauchemar en colocation

Helena Bailly, étoile montante de la scène musicale francophone, ne manque ni de talent, ni d’authenticité. Toujours aussi spontanée, la chanteuse s’est livrée récemment dans une interview accordée à Paris Match, évoquant son quotidien, ses passions… et un détail insolite qui perturbe sa vie en colocation : les bougies !

Les flammes du désagrément

Si l’on imagine souvent la vie d’artiste comme un tourbillon glamour, Helena nous rappelle qu’elle reste, avant tout, une jeune femme avec ses petites manies. Et parmi les irritants de son quotidien, il y en a un qu’elle ne supporte vraiment pas : ces fameuses bougies allumées par sa colocataire.

« Quand ma coloc allume une bougie à côté de ma tronche, j’ai l’impression d’être morte, et je déteste ça », confie-t-elle, mi-amusée, mi-exaspérée. Une réaction pour le moins inattendue, qui en dit long sur sa sensibilité aux ambiances.

Une artiste attachée à l’authenticité

Malgré cette petite gêne, Helena ne se laisse pas déstabiliser. Sa colocation, bien qu’imparfaite, fait partie intégrante de son quotidien, et elle y puise même une forme d’inspiration. Entre bougies indésirables et éclats de rire partagés, elle continue de tracer son chemin artistique avec une sincérité rafraîchissante.

Son premier album Hélé a déjà conquis un large public, et les récompenses ne se sont pas fait attendre : « Il y a deux disques d’or chez moi », annonce-t-elle fièrement. Pas de quoi lui faire prendre la grosse tête, bien au contraire.

Rester soi-même, malgré tout

Ce qui rend Helena si attachante, c’est sans doute sa capacité à savourer la simplicité. Derrière le succès, elle cultive une certaine humilité, une joie de vivre teintée d’humour — « Mon plat préféré ? Ce qu’il y a de plus belge en moi ! », plaisante-t-elle.

Avec son franc-parler et sa manière bien à elle de raconter les petits tracas du quotidien, Helena Bailly incarne cette nouvelle génération d’artistes à la fois accessibles, talentueux et profondément humains.

Alors oui, les bougies restent un point de tension. Mais au fond, ce sont aussi ces petits agacements du quotidien qui rendent la vie plus vraie — et Helena, plus lumineuse que jamais.