Anaïs (L’amour est dans le pré 2023), maman pour la première fois, nous dévoile le prénom de son fils

Avant de lancer la saison 20 de L’amour est dans le pré dans quelques semaines, M6 prend des nouvelles de ceux qui ont fait le sel des deux éditions précédentes dans un Que sont-ils devenus ? diffusé en deux soirées. L’occasion de retrouver les agriculteurs de la saison 19 et quelques-uns de la saison 18, parmi lesquels Anaïs. Rappelez-vous, en 2023, la jeune femme alors âgée de 35 ans avait entamé une idylle avec l’un de ses prétendants, Thomas, mais était finalement arrivée seule au bilan. Mais depuis, la vie sentimentale de l’éleveuse de chèvres a bien changé puisqu’on la découvre enceinte de sept mois dans ce Que sont-ils devenus ? qui a été tourné au mois de mai. Depuis, la Corrézienne a donné naissance à un petit garçon, comme elle nous l’a expliqué au cours d’un entretien qu’elle nous a accordé.

L’amour est dans le pré : Anaïs (saison 18), maman pour la première fois, évoque le choix du prénom compliqué pour son petit garçon

Télé-Loisirs : L’accouchement s’est-il passé ?
Anaïs : Oui, on va dire ça. Il va bien et moi aussi, donc c’est l’essentiel.

Comment s’appelle votre bout de chou ?
Il s’appelle Matilio. À force de longues discussions et de désaccords quasi jusqu’à la fin, on est finalement tombés d’accord là-dessus un peu par hasard. C’est un mix de plusieurs choses en fait. Moi, j’aimais beaucoup Tilio, mais le papa n’était pas fan. On est tombé d’accord sur Matilio et on a essayé de faire simple dans l’orthographe.

Avez-vous pris vos marques tous les trois à la maison ?

On est toujours en cours de marquage. (Elle rit.) Notre bébé est arrivé le 10 juillet et nous sommes rentrés à la maison le 15. Ça se passe super. Avec un peu de fatigue, certes, mais tellement d’amour que c’est trop chouette. Il est plutôt cool, on n’a pas à se plaindre, c’est un bébé facile.

Anaïs (ADP 2023) jeune maman : comment elle s’est organisée pour faire tourner son exploitation pendant son congé maternité

Comment va se passer la garde de votre enfant à la rentrée ?
Aujourd’hui, on a des droits au congé maternité, même en tant que cheffe d’exploitation. Donc j’ai une équipe de remplaçants jusque début octobre. Ça a été un parcours du combattant parce que ce n’est pas évident de former des personnes, de faire un planning à 70 heures par semaine pour faire toutes les tâches, que ce soit la traite, la fromagerie, la vente et tout le reste. J’ai fait un peu de télé-travail de gestion d’équipe, ça m’a changé un peu de mon quotidien. Sur la fin de ma grossesse, j’ai beaucoup formé les remplaçants et chapeauté par téléphone jusqu’à la maternité, gérer les petits imprévus. Heureusement, le papa était là aussi, il a beaucoup fait tampon. Il est enseignant à temps plein mais il est aussi devenu un peu fermier à ses heures perdues. Il était au four et au moulin. Il a été génial, il a géré les angoisses de maman de fin de grossesse et l’accouchement, l’arrivée de bébé, les imprévus à la ferme… Il a été top ! Et même une fois rentrés à la maison, c’est un papa très amoureux de son fils, il est en admiration devant un bébé. Ce n’est pas toujours évident pour les papas de trouver leur place et là, il a su la prendre.

Et après la fin de votre congé maternité et la reprise de l’école pour votre compagnon, enseignant ?
On a une super place en crèche sur la commune ! J’ai eu beaucoup de bol. En février, quand j’ai commencé à annoncer aux copines, il y en a une qui m’a direct demandé si j’avais appelé la crèche, ce qui n’était pas le cas. Je n’étais pas pressée mais elle a insisté. Et elle a trop géré parce que j’ai eu un rendez-vous à la crèche fin février pour un dépôt de dossier en mars, ce qui m’a permis d’avoir une place, ce qui n’aurait pas été le cas si je ne m’étais pas activée. On a beaucoup de chance, je suis très contente.