Faustine Bollaert : l’album photo de ses vacances en famille au Brésil
Sur Instagram, ce mardi, Faustine Bollaert a partagé une série de photos de son séjour au Brésil, avec son mari Maxime Chattam et leurs deux enfants, Abbie (11 ans) et Peter (9 ans).
Une pause appréciée. Faustine Bollaert a profité des vacances scolaires pour s’envoler pour le Brésil avec sa petite famille – son mari Maxime Chattam et leurs deux enfants Abbie (11 ans) et Peter (9 ans). Un voyage qu’elle a documenté sur les réseaux sociaux, partageant une série de clichés : un selfie au pied du Christ Rédempteur en haut du Corcovado, une photo d’elle en tenue de soirée au bord d’une piscine ou encore une image de son fils les pieds dans l’eau.
« Je ne connaissais pas le Brésil… », a écrit Faustine Bollaert en légende. Et d’ajouter : « Et même si je n’ai pu que survoler ses richesses en si peu de temps, je suis tombée en amour de sa chaleur, de sa joie, de ses reliefs, de ses excès, de ses couleurs… » Et c’est dans ce décor de rêve que Maxime Chattam a fêté ses 49 ans. « Joyeux toi mon cœur », a célébré l’animatrice avec une photo de l’écrivain, lunette de soleil sur le nez dans l’eau turquoise d’une piscine à débordement.
Un équilibre nécessaire
Entre « Ça commence aujourd’hui » sur France 2, « La boîte à secret » sur France 3 et « Héros », sa chronique sur RTL, le quotidien de Faustine Bollaert est bien chargé. Au point, non pas qu’elle s’en plaigne, mais qu’elle s’en inquiète. « Pour la première fois, je comprends que je me suis laissé prendre en otage par ma passion », a-t-elle confié à « Paris Match », en janvier. « Mais je me suis battue pour en arriver là, j’adore ce que je fais, et mes émissions sont tellement complémentaires que ça serait difficile de renoncer à l’une d’elles. »
Pour autant, elle veut être présente pour son mari et ses enfants, au-delà de ses vacances. Elle a donc décidé de se rapprocher de Paris, pour ne pas perdre trop de temps dans les transports. « Ça me permettra d’avoir un nouveau rythme, de retrouver du temps pour mes enfants, même s’ils ne m’ont jamais reproché de ne pas être assez présente. Ils voient que mon travail n’est pas une contrainte mais un épanouissement. »
