Jacques Chirac et l’alcool, Roselyne Bachelot balance tout sur ses Gin Tonic XXL avec Laurent Baffie
Roseline Bachelot révèle des anecdotes inédites sur Jacques Chirac dans le podcast “Coloscopie”
L’ancienne ministre Roseline Bachelot, qui a occupé des fonctions politiques importantes sous le gouvernement de Jacques Chirac, était l’invitée d’un épisode marquant du podcast “Coloscopie”, animé par Laurent Baffy. Diffusé sur la plateforme TikTok, cet entretien a permis aux auditeurs de découvrir un autre aspect de la vie politique, avec des révélations surprenantes sur l’ex-président français Jacques Chirac, que Bachelot a bien connu durant ses années en tant que ministre de l’Écologie entre 2002 et 2004.
Au cours de cette interview, Roseline Bachelot a partagé des anecdotes inédites qui ont mis en lumière la personnalité de Jacques Chirac, loin des clichés traditionnels associés à l’image du chef d’État. Parmi les révélations les plus marquantes, l’ancienne ministre a raconté les habitudes étonnantes de Chirac lors des soirées officielles et de ses rapports avec l’alcool.
L’alcool et le fameux “jean tonic”
Lorsque Laurent Baffy a posé la question de savoir combien de “jean tonic” Jacques Chirac pouvait boire en soirée, Roseline Bachelot n’a pas hésité à répondre de manière franche et humoristique. “On en buvait pas mal, trois ou quatre au moins”, a-t-elle lancé, tout en ajoutant que les “jean tonic” que le président buvait n’étaient pas ceux d’un “gamin”. Cette déclaration a immédiatement piqué la curiosité de l’animateur qui a voulu en savoir plus sur les habitudes de l’ancien président en matière de consommation d’alcool.
À la surprise générale, Bachelot a révélé que Jacques Chirac ne buvait pratiquement pas d’alcool, sauf du “jean tonic” pendant les repas. “Il ne buvait jamais de vin”, a-t-elle précisé. Cette révélation contraste fortement avec l’image populaire du président Chirac, connu pour son amour des produits du terroir, des repas copieux et des bons vins. Loin d’être un grand amateur de vin ou de whisky, Chirac semblait préférer une consommation plus modérée et très spécifique d’alcool, ce qui a étonné les auditeurs.
La passion de Chirac pour le sumo
Au-delà de ses préférences en matière d’alcool, l’entretien a aussi permis de découvrir une autre facette méconnue de Jacques Chirac : sa passion pour le sumo. Laurent Baffy, intrigué par cette passion atypique, a demandé à Roseline Bachelot si elle avait déjà vu les cassettes de sumo que Chirac regardait. “Ça m’emmerdait, mais alors puissamment”, a-t-elle répondu avec son franc-parler habituel, faisant sourire son interlocuteur.
Mais l’anecdote la plus surprenante est survenue lors d’un dîner officiel à Johannesburg, en présence du Premier ministre japonais. Tentant de faire bonne impression, ce dernier engagea une conversation sur l’actualité du championnat de sumo et mentionna un célèbre lutteur japonais en évoquant ses problèmes de chevilles. Jacques Chirac, passionné par ce sport et manifestement très bien informé, a immédiatement corrigé son interlocuteur, soulignant que le lutteur n’avait pas de problèmes de chevilles, mais de genoux.
Cette précision surprenante a impressionné le Premier ministre japonais, qui n’a eu d’autre choix que de s’excuser : “Je vous présente mes excuses, Monsieur le Président, j’avais oublié que vous connaissez le Japon beaucoup mieux que moi”. Ce moment illustre à quel point Jacques Chirac maîtrisait parfaitement son sujet, y compris des domaines aussi inattendus que le sumo.
Un portrait surprenant de Jacques Chirac
À travers cette interview, Roseline Bachelot a dressé un portrait surprenant de Jacques Chirac, à la fois attachant et contradictoire. Au-delà de l’image du bon vivant, Chirac se révèle sous un autre jour, celui d’un homme passionné, érudit sur certains sujets, mais aussi décalé dans ses habitudes et ses préférences. L’ancienne ministre a su dépeindre un homme à la fois charismatique et complexe, loin de l’image simpliste que certains pourraient avoir de lui.
Cet entretien avec Roseline Bachelot dans le podcast “Coloscopie” offre ainsi un regard unique sur les coulisses du pouvoir et sur les personnalités emblématiques de la politique française. Entre anecdotes personnelles, révélations inattendues et souvenirs d’une époque révolue, cet épisode a permis aux auditeurs de découvrir un Jacques Chirac plus humain, surprenant et parfois même cocasse, tout en restant fidèle à son image de leader apprécié par le peuple français.
Laurent Baffie est sociétaire des “Grosses Têtes” sur RTL depuis des années mais ce n’est pas tout. Par ailleurs, il est à l’origine du podcast Coloscopie sur TikTok. A cette occasion, l’ancien sniper de Thierry Ardisson a déjà reçu diverses personnalités comme Élodie Frégé, Jean-Marie Bigard et dernièrement Roselyne Bachelot. C’était le 12 février dernier. Un entretien d’une heure vingt. A cette occasion, l’ancienne ministre a dévoilé quelques anecdotes sur les rouages du monde politique. Elle a, notamment, été questionnée sur Jacques Chirac avec qui elle a travaillé de près.
Dans un premier temps, Laurent Baffie s’est interrogé au sujet de l’ancien président : “Vous pouviez boire combien de Gin Tonic Chirac et toi ?”. Sans filtre et sans attendre, elle qui a été sa ministre de l’Écologie de 2002 à 2004 a répondu : “Oh, on en buvait pas mal, trois ou quatre au moins et puis Jacques c’était pas des Gin Tonic de gamines“. Suite à cette révélation, l’humoriste de 66 ans a rétorqué : “Il tenait bien l’alcool, il était jamais bourré ?”.
C’est alors que Roselyne Bachelot a révélé que Jacques Chirac ne buvait pratiquement pas d’alcool, “sauf des Gin Tonic. A table, il ne buvait jamais de vin” a-t-elle ajouté. Alors que Jacques Chirac est mort en 2019, l’ancien président a toujours été connu pour être un bon vivant.
C’est alors que l’ancienne ministre de la Culture d’Emmanuel Macron a raconté : “J’ai assisté à quelque chose d’absolument drolatique. On était à Johannesburg et on décide de sortir bouffer dans un restaurant japonais et là, il y avait le premier ministre japonais qui était là. Pour faire l’intéressant, ce dernier décide de lui parler du championnat de sumo et il lui parle du meilleur sumotori japonais et il lui dit : ‘Mais d’ailleurs il a des problèmes de chevilles’. Chirac le regarde et il dit : ‘Il n’a pas des problèmes de chevilles, il a des problèmes de genoux'” C’est alors que le Premier ministre japonais aurait rétorqué sous les yeux ébahis de Roselyne Bachelot : “Je vous présente mes excuses Monsieur le Président, j’avais oublié que vous connaissez le Japon beaucoup mieux que moi”.