Mathieu (L’amour est dans le pré) a décidé de ne pas scolariser son fils Ezio : il dévoile la raison
Papa poule, Mathieu Ceschin sait exactement comment il compte élever son petit Ezio. La star de L’amour est dans le pré a justifié un de ses choix surprenant lors d’un entretien accordé à Gossip Room.
Candidat vedette de L’amour est dans le pré en 2020, c’est dans sa famille que Mathieu Ceschin a trouvé le bonheur. Père célibataire d’un petit Ezio, né par GPA le 28 mai 2024, il ne nie pas que sa parentalité «solo» apporte son lot de challenges. Mais il y voit aussi de nombreux avantages. «On est tranquille !», lance-t-il d’abord au micro de Gossip Room lors d’un entretien partagé sur YouTube mercredi 30 avril. Celui qui est aujourd’hui «le plus heureux du monde» ajoute : «Tu ne te disputes jamais. Pour l’éducation, tu ne t’engueules pas.» Un sujet brûlant pour l’ancien éleveur de taureaux, qui affirme : «Moi, je veux une éducation particulière, puisque je ne veux pas le scolariser.»
Un point de vue peu conventionnel qu’il explique volontiers. Il se dit «grand déçu de ce que propose l’État aujourd’hui» et précise : «Pas au niveau du contenu de ce qu’il propose, mais au niveau des écoles. Aujourd’hui, il y a de la violence dans les écoles.» Le père qui s’avoue un peu surprotecteur continue : «J’aurais peur pour mon gamin.» Il tempère tout de même : «Évidemment, [Ezio] aura une éducation», et loue les services du Cned, organisme qui opère le suivi de l’école à distance. Une autre raison motive le choix du papa poule devenu globe-trotter. «Et puis, j’ai envie de lui montrer le monde», s’enthousiasme-t-il, «C’est aussi ça, l’école de la vie.»
Mathieu (L’amour est dans le pré), papa solo d’Ezio : “J’ai enfin compris ce qu’était la charge mentale…”

Si Mathieu semble plus épanoui que jamais, il remarque la difficulté particulière de sa situation. Célibataire, il élève seul son petit Ezio. «J’ai enfin compris ce que c’était que la charge mentale», s’amuse-t-il face aux caméras de Gossip Room. Cette charge, plutôt l’adage des mamans, reconnaît-il, retombe sur celui qui gère chaque aspect de sa vie : «J’ai le travail, le petit, pas de nounou, pas de crèche…» Pourtant, il insiste : «Je suis très heureux d’élever seul mon gosse. Le prochain qui arrive et qui me dit : “Fais ça avec ton gosse”, il prend la porte !»