Jean-Louis Aubert raconte sa relation inattendue avec un acteur français célèbre – Ils restent en contact 

Jean-Louis Aubert et Gérard Jugnot : le surprenant lien du lycée Pasteur révélé dans Les 12 coups de midiLes Enfoires" : la production forcée de prendre une grande décision pour Gerard  Jugnot - Public

Ce jeudi 14 août 2025, les téléspectateurs de TF1 ont assisté à un moment inattendu lors de la diffusion d’un nouvel épisode des 12 coups de midi. Une question de culture générale a littéralement déconcerté un candidat : « Qui Jean-Louis Aubert a-t-il eu comme surveillant quand il était lycéen ? » Face à deux propositions, Gérard Jugnot ou l’autre, le candidat s’est trompé en choisissant l’autre, derrière lequel se cachait François Hollande. La bonne réponse était Gérard Jugnot. Un détail méconnu de la jeunesse de Jean-Louis Aubert qui a instantanément captivé le public et provoqué un duel mémorable à l’écran.

Cette anecdote met en lumière un épisode souvent oublié de la vie du chanteur, fondateur du groupe Téléphone, qui a grandi dans l’Ain avant de s’installer à Paris. À l’occasion de son soixante-dixième anniversaire, Jean-Louis Aubert s’était confié dans Paris Match, évoquant son arrivée dans la capitale et ses premiers pas dans un appartement modeste, loin du faste des studios ou des salles de concert. C’est dans ce contexte qu’il a découvert le lycée Pasteur et croisé le chemin de Gérard Jugnot, alors surveillant.

Une rencontre inattendue au lycée Pasteur

Avant de devenir l’icône de la scène rock française que l’on connaît aujourd’hui, Jean-Louis Aubert était un adolescent parmi d’autres, naviguant dans les couloirs du lycée Pasteur à Paris. C’est là qu’il a rencontré Gérard Jugnot, qui occupait à l’époque un petit emploi de surveillant à la cantine, après avoir lui-même été élève dans ce même établissement.

Contrairement à l’image joviale que le public a de lui à travers la troupe du Splendid, Jugnot n’était pas le « pion » ordinaire. Selon les souvenirs d’Aubert, il était redouté et respecté : « Il était sévère. Il n’était pas rigolo. Il était pion, mais il n’aimait pas qu’on le fasse chier », a confié le musicien dans l’interview. Sa moustache imposante et son autorité incontestée lui ont valu le surnom de « Attila » parmi les élèves, une appellation qui témoigne de la présence marquante qu’il avait dans l’établissement.

Le lycée Pasteur, situé au cœur de Paris, a donc été le théâtre d’une rencontre improbable entre deux futures stars du monde artistique français, bien avant que leurs chemins professionnels ne deviennent publics. Ce petit emploi de surveillant de cantine, bien loin des projecteurs et des plateaux télé, a laissé une empreinte durable dans la mémoire de Jean-Louis Aubert.

Gérard Jugnot : de pion à star du Splendid

Après son passage au lycée Pasteur, Gérard Jugnot s’est lancé dans une carrière artistique qui l’a conduit à intégrer la troupe du Splendid, véritable vivier de talents comiques français. Aux côtés de Christian Clavier, Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko et Michel Blanc, Jugnot a conquis le public avec des rôles devenus cultes et un humour reconnaissable entre mille.

Cette trajectoire, qui a débuté dans les couloirs d’un lycée parisien, illustre bien comment des rencontres apparemment anodines peuvent marquer la vie de futurs artistes. Pour Jean-Louis Aubert, l’expérience avec Jugnot a constitué un souvenir formateur, montrant déjà la personnalité forte et charismatique de celui qui allait devenir l’une des figures incontournables du cinéma et du théâtre français.Ce célèbre acteur français été le surveillant de Jean-Louis Aubert quand il  était lycéen

Le contraste entre la jeunesse studieuse et parfois turbulente d’Aubert et la rigueur autoritaire de Jugnot illustre également un passage obligé de l’adolescence : rencontrer des figures d’autorité qui imposent le respect tout en laissant des souvenirs impérissables. Dans ce cas, la figure du surveillant n’était pas seulement celle d’un adulte encadrant des adolescents, mais celle d’un futur artiste au tempérament affirmé.

L’effet inattendu à Les 12 coups de midi

La redécouverte de cette anecdote par le biais de l’émission de TF1 a surpris le public et le candidat, mais elle illustre aussi la richesse des petites histoires derrière les grandes célébrités. Le choix erroné du candidat – François Hollande – a d’ailleurs créé un moment de tension et d’humour involontaire, soulignant que même les questions qui semblent impossibles peuvent révéler des faits étonnants.

L’animateur de l’émission a d’ailleurs pris soin de rappeler ces détails avec un ton complice, soulignant à quel point Gérard Jugnot avait laissé une marque indélébile sur les élèves du lycée Pasteur. Les spectateurs ont ainsi pu voyager dans le temps, s’imaginant Aubert adolescent, traversant les couloirs du lycée sous l’œil vigilant d’« Attila ».

Une jeunesse loin des projecteurs

Les souvenirs partagés par Jean-Louis Aubert sur son arrivée à Paris mettent en avant une réalité moins glamour de la vie des artistes : le quotidien simple et parfois austère d’un jeune lycéen dans un appartement modeste. Ces anecdotes rappellent que derrière la gloire et la célébrité, il existe des expériences universelles de jeunesse, de découverte et de confrontations à l’autorité.

Le récit de cette rencontre avec Jugnot ne se limite pas à une simple anecdote. Il montre aussi l’influence que peuvent avoir certaines personnalités sur le développement et la mémoire d’un adolescent. Dans le cas de Jean-Louis Aubert, le souvenir de ce surveillant strict mais juste a sans doute façonné sa perception des figures d’autorité et son approche de la discipline et du travail artistique.

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Aujourd’hui, alors que Jean-Louis Aubert célèbre ses 70 ans et que Gérard Jugnot est devenu un monument du cinéma français, cette anecdote du lycée Pasteur reste un petit trésor de culture générale et de mémoire collective. Elle montre que derrière chaque célébrité, il existe un passé riche en rencontres, en anecdotes et en figures marquantes qui ont contribué à leur formation.

Le public de Les 12 coups de midi a ainsi pu découvrir un lien inattendu entre le monde du rock et celui du cinéma comique français, illustrant que les chemins artistiques, bien que différents, peuvent parfois se croiser de manière surprenante. L’histoire de Jean-Louis Aubert et Gérard Jugnot au lycée Pasteur est une belle illustration de cette idée : même un simple surveillant de cantine peut devenir, avec le temps, un acteur majeur dans la mémoire d’une future star.

Conclusion

Cette petite histoire révèle beaucoup sur la jeunesse des célébrités et sur les rencontres qui façonnent leur parcours. Le strict mais charismatique Gérard Jugnot, surnommé « Attila », a marqué la vie d’adolescent de Jean-Louis Aubert, laissant une empreinte durable qui mérite d’être racontée. Et si les téléspectateurs de TF1 ont ri de l’erreur du candidat aux 12 coups de midi, ils ont également été invités à redécouvrir un pan méconnu de la vie d’un musicien légendaire.

Au final, cette anecdote prouve que derrière chaque célébrité se cachent des histoires humaines, souvent drôles, parfois surprenantes, mais toujours enrichissantes. Et pour ceux qui pensaient que la vie de rockeur commençait directement sur scène, souvenez-vous : parfois, tout commence dans un lycée parisien, sous l’œil vigilant d’un pion moustachu surnommé Attila.

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