Dans l’épisode de The Voice diffusé sur TF1 ce samedi 8 février, Vianney a remis Zaz à sa place après avoir un geste qu’il juge inapproprié. Ça ne rigole plus sur le plateau du télé-crochet !
La semaine dernière, The Voice a fait son grand retour sur TF1 pour le plus grand plaisir des téléspectateurs. Quelques changements ont eu lieu du côté du jury. Après une pause pour se concentrer sur sa santé, Florent Pagny a repris sa place dans le fauteuil rouge. Sur place, il a retrouvé Vianney, qui a déjà fait ses preuves lors des saisons précédentes. De nouvelles venues ont rejoint les deux artistes, Zaz et Patricia Kaas. Deux femmes très talentueuses qui n’ont pas hésité à saisir cette opportunité, surtout l’interprète de Mon mec à moi qui fait son retour sur la scène médiatique après une absence de huit ans.
Vianney (The Voice 2025) surprend Zaz avec les pieds sur le fauteuil et lui signale : “Moi, là-dessus, je suis intransigeant”
Après un premier round d’auditions à l’aveugle, durant lequel des candidats comme César, Roxane et Gaël se sont fait remarquer, place à la deuxième salve de candidats. Dans le numéro diffusé ce samedi 8 février, Zaz a montré qu’elle avait déjà pris ses aises. Surprise en train de mettre ses pieds sur le fauteuil, Vianney n’a pas hésité à lui faire une remarque : “Ils t’ont dit qu’il ne fallait pas mettre les pieds sur le fauteuil ?” Dans la foulée, la chanteuse lui demande : “Et toi ?” Une interrogation justifiée puisqu’il est le premier à le faire, mais également à appuyer sur le buzzer avec son pied. Sachant pertinemment qu’il n’est pas un exemple, il tente de se défendre, mais ne convainc pas. “Moi, là-dessus, je suis intransigeant”, déclare-t-il avec beaucoup d’humour.
Zaz se justifie après la remarque de Vianney dans The Voice 14 : “Mes chaussures n’ont été nulle part ailleurs”
Malgré tout, Zaz se sent obligée de se justifier. “Mes chaussures n’ont été nulle part ailleurs, donc on s’en fout”, explique-t-elle, “C’est comme les vêtements”. Amusé par sa défense, Vianney esquisse un sourire avant d’accueillir le prochain talent. C’est donc bien l’hôpital qui se fout (gentiment) de la charité. Déjà critiqué sur sa façon de se tenir, celui qui a cassé plusieurs fauteuils au cours des dernières années avait déclaré : “Je ne pense pas que ça fasse de moi un mauvais gars.”