Frank Leboeuf fait partie du casting de la 14e saison de Danse avec les stars  qui est lancée ce vendredi 7 février. L’ancien footballeur des Bleus a décidé de se lancer un nouveau défi sportif à la suite de l’arrêt de la pièce de théâtre Hernie fiscale  dans laquelle il a longtemps joué. Le champion du monde s’est confié à Gala.fr à propos de sa participation au programme de danse, sur sa préparation ainsi que sur son objectif en foulant le parquet.

Gala.fr : Pourquoi avez-vous accepté de participer à Danse avec les stars ?

Frank Leboeuf : C’est arrivé comme un bon karma, comme un signe de la vie. J’ai accepté en deux jours parce que je venais d’arrêter la pièce de théâtre Hernie fiscale. Je n’avais pas vraiment décidé d’arrêter, mais quand j’ai eu la proposition, je me suis dit que c’était le bon moment parce que le producteur voulait l’arrêter. On l’a joué plus de 200 fois, je crois que c’était bien d’arrêter comme ça, c’était magnifique. On a eu une super aventure. Je vais faire quelques dates de tourner pendant Danse avec les stars. Quand ils m’ont appelé je me suis dit en tout cas que c’était le moment. Ça faisait déjà quatre ou cinq ans qu’on m’appelait… Je me suis dit que ça ne se refusait pas et que c’est une belle aventure. Bon, je vais souffrir maintenant…

Gala.fr : Ce n’était donc pas la première fois que vous passiez les essais ?

F. L : J’ai passé les essais il y a cinq ans avec Denitsa Ikonomova. Mais ça n’a pas pu se faire, je ne sais même plus la raison d’ailleurs. J’étais beaucoup pris, puis il faut donner trois mois ce qui n’est pas facile. Comme le dit Sophie Davant, là je n’avais rien à faire alors je me lance.

Gala.fr : Comment vous êtes-vous préparé ? Votre femme est danseuse, vous a-t-elle aidé ?

F. L : Assouplissement, étirement, ma femme fait très attention à ce qu’elle mange. Je souffre de bigorexie donc il faut que je fasse du sport. Je fais minimum 45 minutes de sport par jour. Ce n’est pas pour impressionner les gens, mais quand j’ai mal au ventre ou à la tête, je fais du sport puis tout va mieux. C’est fou !

« J’ai peur de me tromper, de faire tomber ma danseuse, de rater quelque chose… »

Gala.fr : Quel est votre objectif en participant à Danse avec les stars ?

F. L : Je voudrais un jour pouvoir aller à Miami avec ma femme, parce qu’on y va tout le temps, aller dans des bars cubains et pouvoir danser la salsa avec elle. Parce que je l’ai fait un peu, gentiment, mollement, parce que j’avais honte… Mon problème, c’est que j’ai honte très vite de mal danser parce que j’ai en face de moi quelqu’un qui sait super bien danser. Elle sait danser toutes les danses, elle a fait énormément de choses dans sa vie. Et quand elle va danser dans ces bars, c’est avec des professionnels cubains, c’est absolument magique. Mais j’en ai marre que ces mecs dansent avec ma femme ! (Rires) Donc j’espère pouvoir m’améliorer pour pouvoir un jour l’emmener danser.

Gala.fr : Qu’est-ce qui vous fait le plus peur : une finale de Coupe du monde ou bien Danse avec les stars ?

F. L : Une saison de Danse avec les stars pour la simple et bonne raison que je maîtrise le football, ça a été ma vie, j’ai commencé à quatre ans et demi, je n’ai jamais arrêté jusqu’à mes 37 ans. Quand on a fait la finale de la Coupe du monde, avant c’était stressant, mais une fois sur le terrain j’étais chez moi. J’étais le petit Frank dans mon village de Saint-Cyr-sur-Mer, ça ne m’a pas dérangé, les 80 000 personnes dans le stade on les oublie, et les milliards de téléspectateurs, on les oublie aussi. Là, je ne maîtrise rien… Je ne veux surtout pas être ridicule. J’ai peur de me tromper, de faire tomber ma danseuse, de rater quelque chose. Je suis un perfectionniste, quand je joue au théâtre et que je manque une phrase, c’est une horreur !

Gala.fr : Comment a réagi votre fille Jade en apprenant votre participation à l’émission ?

F. L : Elle était très heureuse ! Elle m’a souhaité bonne chance, comme mon fils. Ils connaissent très bien Adil Rami, ils ont fait Les Traîtres ensemble et ils sont très amis. Je suis content parce qu’ils sont derrières moi, avec moi, ça va être sympa. Je vais sûrement les inviter pour assister à un prime pour qu’ils voient leur père danser et qu’ils rigolent bien ! (Rires)