Après deux ans d’absence, Florent Pagny fera son retour dans “The Voice” ce 1er février. Ses acolytes lui ont même donné un surnom de taille… Que le principal concerné n’approuve pas totalement !

Ce samedi 1er février, TF1 lancera en grande pompe la 14e saison de son célèbre concours de chant, The Voice. Il faut dire qu’après deux ans d’absence, Florent Pagny retrouvera enfin sa place dans son emblématique fauteuil rouge de juré. Et ses acolytes : son ami Vianney, et deux petites nouvelles, Zaz et Patricia Kaas qui signe, elle aussi, son grand retour après huit ans loin des caméras.

“Après tant d’années de bons et loyaux services…”

Après dix années en tant que coach de The Voice, Florent Pagny a donc mérité son surnom : “le patron de la chanson française”. Mais l’interprète de Savoir aimer a bien du mal à s’y faire ! Dans les colonnes de Télé 7 jours, le chanteur de 63 ans est revenu, non sans humour, sur le pseudo affectif que lui donne son camarade et complice Vianney. “Pour eux, j’étais un pilier à ne pas lâcher. Alors que pour moi, il y en avait plein d’autres, comme Mika, Vianney, Zazie… Et tout se passe très bien sans moi !”, a-t-il d’abord fait savoir avec l’humilité qu’on lui connaît.

Et à lui d’ajouter : “C’est vrai que, dernièrement, il s’est passé un truc et mes camarades de jeu m’appellent comme ça. En même temps, je commence à entrer dans un âge où, après tant d’années de bons et loyaux services… J’ai passé la soixantaine, je suis toujours là, je commence à avoir quelques ‘médailles’. Bon, il y a des patrons qui ne sont plus là…” On pense bien évidemment à Johnny Hallyday.

Florent Pagny approuve-t-il son surnom ? “Il y a un moment où tu ne me verras plus…”

Visiblement gêné par tant de compliments, Florent Pagny – qui a mené la lutte contre un cancer – a ensuite fait savoir qu’il pouvait parfois être gêné par ce surnom de “boss”. “Honnêtement, quand on m’appelle ‘le taulier’, ‘le patron’, je réponds : ‘Le taulier, c’est le mec qui garde la taule. Moi je ne vais pas garder la taule, il y a un moment où tu ne me verras plus et tout le monde va bien se démerder sans moi'”, a-t-il déclaré.

Et l’interprète de Ma liberté de penser de nuancer son propos : “Mais je sais que c’est une marque de respect, et, en plus, tout ce qui m’est arrivé a un peu sacralisé cette dimension. Je suis lucide, et je le vis humblement, au fond, ça peut me faire plaisir et me flatter, et, d’un autre côté, je ne le prends pas au pied de la lettre”. Aucune ombre au tableau à signaler donc !