Adil Rami en route vers la finale de Danse avec les stars : entre doutes et détermination

La tension monte à l’approche de la grande finale de Danse avec les stars saison 14, prévue ce vendredi 25 avril. Parmi les finalistes encore en lice, Adil Rami, l’ex-footballeur au tempérament de guerrier, se prépare à livrer l’un des combats les plus intenses de sa carrière. Mais cette fois, ce n’est pas sur un terrain de football qu’il s’apprête à briller, mais bien sur le parquet de danse de TF1, aux côtés de sa partenaire, la talentueuse Ana Riera.

Dans un extrait diffusé ce mardi 22 avril sur TF1+, Adil Rami a laissé transparaître ses émotions, ses doutes et son perfectionnisme, à la veille de cette ultime épreuve. “Je suis vraiment content mais ma carrière me fait rappeler que c’est pas suffisant parce que maintenant, il faut aller chercher la victoire”, a-t-il confié à Ana Riera, lors des répétitions. Une déclaration qui en dit long sur l’état d’esprit du sportif : la fierté d’avoir atteint la finale est réelle, mais elle s’accompagne d’une exigence toute professionnelle.

Une finale sous haute pression

Pour cette dernière soirée décisive, les trois finalistes – Lénie, Florent Manaudou et Adil Rami – auront un programme particulièrement exigeant. Trois prestations seront au menu : un freestyle pour ouvrir le bal, une danse marquante revisitée de leur saison et enfin, une chorégraphie totalement inédite. À l’issue du freestyle, un premier couple sera éliminé, avant que les deux derniers ne s’affrontent sous les yeux du public, seul juge final.

C’est un véritable marathon que devra affronter Adil Rami. Son premier défi : un freestyle sur le titre Papaoutai de Stromae. Un choix qui ne laisse pas son partenaire indifférent. “C’est une super belle musique. Je pense qu’elle te parle aussi avec l’histoire”, a souligné Ana Riera, évoquant sans doute l’histoire personnelle de l’ex-footballeur, élevé sans son père, tout comme Stromae. Un lien émotionnel fort qui pourrait bien transcender sa performance.

Ensuite, le duo revisitera un tango argentin sur Skyfall d’Adele, une danse déjà présentée lors d’un précédent prime dédié au cinéma. Si l’avantage de connaître la chorégraphie pourrait sembler réconfortant, Adil Rami n’en est pas moins exigeant : “Non, pas mieux. Là, il faut la perfection”, a-t-il lancé à sa partenaire, bien décidé à viser l’excellence.

Enfin, c’est avec un quickstep – un style de danse rapide et technique – qu’il tentera de convaincre une dernière fois le public. Une danse qu’il n’a jamais encore présentée cette saison, ce qui ajoute un défi supplémentaire à ce programme déjà bien rempli.

Une semaine cruciale

“Ça va être une semaine intense”, a prévenu Ana Riera. Les heures de répétition s’enchaînent, et la pression monte à mesure que le jour J approche. Face à la fatigue et au stress, le soutien indéfectible d’Ana Riera semble être un véritable pilier pour Adil Rami. “Il y a trois danses à faire. Dans les trois danses, il y en a une qu’on a déjà performée donc il y a une chose en moins à apprendre”, a-t-elle tenté de le rassurer.

Mais l’ancien international français ne veut rien laisser au hasard. “Ce n’est pas facile”, a-t-il avoué, visiblement habité par une volonté de se surpasser. Sa détermination est palpable, son esprit de compétiteur intact. Cette finale ne sera pas qu’un simple divertissement pour lui : c’est une nouvelle arène, un nouveau défi, à relever avec panache.

Rendez-vous donc ce vendredi pour découvrir si Adil Rami, porté par son travail acharné, son exigence et sa complicité avec Ana Riera, réussira à décrocher le trophée de cette quatorzième saison de Danse avec les stars. Une chose est sûre : sur le parquet comme sur le terrain, il n’a pas perdu son âme de champion.