Benoît Piedfer en feu : il écrase tout sur Koh-Lanta pour l’honneur de l’Auvergne !

Depuis trois semaines, les téléspectateurs de Koh-Lanta suivent avec passion les aventures de Benoît Piedfer, 25 ans, perchiste du Clermont Athlé. Désormais simple spectateur de son propre parcours, il nous livre ses impressions avec spontanéité.

Se voir à la télé, une expérience troublante

“C’est assez perturbant ! Dès le deuxième épisode, je me suis trouvé amaigri. Mais globalement, les images retranscrivent fidèlement ce que l’on a vécu sur l’île. Ce qui est drôle, c’est de découvrir enfin les coulisses : on entend ce qui se passait dans l’équipe adverse, ce qu’on ignorait totalement à l’époque.”

Des soirées télé sous le signe de la convivialité

“C’est devenu un excellent prétexte pour organiser des apéros entre amis ! (Il rit.) Chaque mardi soir, on se retrouve pour regarder l’émission ensemble et revivre les moments forts de l’aventure.”

Un lien indéfectible avec les autres candidats

“On a créé un groupe WhatsApp, et on se charrie beaucoup au fil des diffusions. L’ambiance est super bon enfant, c’est très agréable.”

Un flot de réactions bienveillantes

“Les messages affluent ! Sur les réseaux sociaux, les retours sont très positifs. J’ai reçu énormément de messages d’amis, mais aussi de sportifs qui ont découvert mon aventure. Et bien sûr, ma famille est toujours là pour me soutenir.”

L'aventure continue pour Benoît Piedfer qui défend les couleurs de l' Auvergne sur Koh-Lanta - La Montagne

Les précieux conseils de sa mère

“Ma mère m’avait prévenu : ‘Tu as un gros caractère, fais attention !’ J’ai essayé de suivre ses recommandations en mettant cette facette de ma personnalité de côté. J’ai préféré m’exprimer dans les épreuves et éviter de trop me faire remarquer en dehors. Ce qui m’inquiétait le plus, c’était la vie en collectivité. Finalement, avec l’équipe des Verts, tout s’est bien passé. Aucune tension, une vraie bonne surprise !”

Regarder l’émission depuis son canapé, une vraie prise de recul

“Cette aventure m’a appris à relativiser et à lâcher prise. L’accumulation de la faim, de la fatigue, de la pluie et du manque d’hygiène, c’est un véritable enfer. Aujourd’hui, je profite pleinement du confort retrouvé. D’ailleurs, dès mon retour, je me suis jeté sur un hamburger et des pâtisseries !”

 

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