Star Academy 2024 : Marine angoissée par sa notoriété soudaine, “c’est horrible, je me sens trop mal

Lors de la quotidienne de la Star Academy 2024, plusieurs candidats ont confié que la popularité était déjà difficile à vivre.

Entrer à la Star Academy est bien plus qu’un simple qu’un télécrochet musical : c’est une exposition médiatique intense qui transforme, en quelques jours, de parfaits inconnus en célébrités. Cette année, les élèves de la promotion 2024 en font l’expérience avec beaucoup d’angoisse et d’appréhension. Durant la quotidienne diffusée sur TF1, les académiciens ont eu une rencontre avec leur marraine, la chanteuse Clara Luciani. Et certains candidats ont partagé leurs ressentis face à cette notoriété soudaine.
Marine “gênée” par sa notoriété dans la Star Academy
Face à Clara Luciani, Marine a confié que cette popularité soudaine était un véritable choc. Sauvée par le public lors du dernier prime, la candidate a avoué ne pas réussir à accepter ce statut de célébrité, qui la met profondément mal à l’aise.

C’est horrible, je me sens trop mal. Quand ils me font coucou, je suis gênée parce qu’en fait moi, je ne suis personne.

Ces aveux n’ont pas surpris la chanteuse Clara Luciani, qui a elle-même vécue une médiatisation soudaine.

Vous n’avez pas conscience comme vous êtes coupés de tout […] Vous, c’est du jour au lendemain.

Son camarade Charles également gêné
Charles a, lui aussi, confié à Clara Luciani avoir été particulièrement étonné par l’engouement du public. L’apprenti chanteur a raconté qu’il avait vu une spectatrice crier de joie après lui avoir fait un simple signe de la main lors du dernier prime.

Quand on est descendus dans le public avec Noah, juste une fille me fait coucou, je lui fais coucou, et elle fait : Aaaah !

Leur camarade Emma a vécu une expérience similaire lors des NRJ Music Awards avec Masséo en compagnie de David Guetta.

Quand on est descendus, à Cannes, les gens n’étaient pas là pour nous, mais ils nous connaissaient quand même, genre : ‘Emma, fais-moi un autographe !’ Et moi : ‘Je ne sais pas faire’.