Révélation choc : Mélanie Page, l’épouse de Nagui, a choqué ses fans en changeant officiellement de nom, une décision surprenante contenant un secret privé qui a secoué l’industrie du divertissement française !

Mélanie Page révèle que ses parents ont changé son prénom 48h après sa naissance, et qu’elle l’a regretté pendant des années.

“Je m’appelle Georges et… vous?”. Et tandis qu’elle assure la promotion de ce nouveau spectacle au théâtre, Mélanie Page a fait des révélations.

Après Faustine Bollaert, il y a quelques jours, elle a expliqué qu’elle avait, elle aussi, changé d’identité. Mais c’était bien avant l’animatrice télé.

À la différence de la journaliste qui a voulu honorer un membre de sa famille disparu en prenant son nom, la femme de Nagui a changé de prénom.

Mélanie Page s’appelait Kathleen à la naissance

C’est ainsi que sur le plateau de Buzz TV, Mélanie Page a expliqué aux journalistes du Figaro comment elle avait “passé des années à ne pas aimer du tout son prénom”.

Elle a ensuite raconté l’histoire qui se cache derrière… Et de se souvenir : “Il se trouve qu’à ma naissance, je ne m’appelais pas Mélanie, mes parents m’avaient appelé Kathleen, donc à l’anglaise”.

Née d’une mère australienne et d’un père anglais, elle s’est donc appelée Kathleen “pendant 48h”. Mais voilà, dit-elle aussi, “comme personne ne savait l’écrire à la clinique, tout le monde disait Catherine”, ses parents ont changé d’avis.

Ce changement qui l’a bouleversé

La maman de Roxane, d’Annabel et d’Adrien révèle que ses parents se sont dit : “bon ça va être un enfer, on va l’appeler avec un prénom beaucoup plus simple, on va l’appeler Mélanie”. Un choix qu’elle a longtemps cru par dépit.

Par conséquent, quand Mélanie Page a entendu cette histoire de leur bouche, elle s’est mise à adorer l’autre prénom qui lui était initialement destiné. Elle se répétait alors “il est pas bien mon prénom”, et rêvait de s’appeler Kathleen plus que tout. Au final, l’histoire se termine bien. La jeune femme raconte : “au bout d’un certain temps, je m’y suis fait, et maintenant j’adore mon prénom”.

Le poids d’un prénom : un héritage intime devenu une révélation publique

Dans l’univers du divertissement, chaque détail de la vie des personnalités publiques attire l’attention. Mais rares sont ceux qui auraient pu imaginer que Mélanie Page, l’épouse charismatique de Nagui, cachait un secret aussi singulier et intime : celui de son prénom originel. Une confidence inattendue qui a provoqué un véritable tourbillon médiatique, tant le sujet touche à l’identité profonde de chacun.

Pour la comédienne, ce souvenir a longtemps été une source de malaise. « Je trouvais Kathleen tellement plus élégant, plus mystérieux », confie-t-elle avec sincérité. Et si aujourd’hui elle rit en se remémorant ces années de frustration, elle avoue avoir traversé une période où son identité lui semblait incomplète.

Entre regrets et réconciliation avec soi-même

En France, un prénom n’est pas qu’un mot : il devient une carte de visite, un symbole social, parfois même un poids à porter. Mélanie Page l’a appris très tôt, en comprenant que la décision de ses parents avait façonné son rapport à elle-même.

« Je m’imaginais toujours en Kathleen. Je me projetais avec ce prénom comme si j’avais été quelqu’un d’autre », raconte-t-elle. Ce regret silencieux l’a accompagnée dans son adolescence, un âge où l’on cherche encore à définir son identité et à s’affirmer.

Et pourtant, ce prénom choisi « par simplicité » s’est imposé comme une évidence au fil des années. À force de s’entendre appeler Mélanie, la comédienne a finalement apprivoisé son destin. Elle ajoute même avec une pointe d’humour : « Aujourd’hui, je trouve que Mélanie me correspond parfaitement, il y a une douceur que je n’aurais peut-être pas trouvée dans Kathleen. »

Un sujet universel qui touche chacun

Si la révélation de Mélanie Page a tant marqué les esprits, c’est aussi parce que des millions de Français se reconnaissent dans ce récit. Qui n’a jamais rêvé d’un autre prénom ? Qui ne s’est jamais interrogé sur ce qu’il aurait été s’il avait porté un autre nom ?

Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas fait attendre :

Certains internautes ont confié qu’ils avaient, eux aussi, changé de prénom à l’âge adulte.

D’autres ont partagé leurs frustrations d’avoir porté un prénom jugé « trop banal » ou « trop compliqué ».

Et beaucoup ont salué le courage de la comédienne, qui a osé mettre en lumière une expérience intime et longtemps tue.

Ce témoignage soulève un débat sociétal : à quel point un prénom peut-il influencer la construction de notre identité et notre rapport au monde ?

Un nouveau regard sur son histoire

Aujourd’hui, Mélanie Page choisit de transformer ce qui fut une blessure en force. Sur scène comme dans la vie, elle porte fièrement son prénom, symbole d’une réconciliation intime.

« Finalement, j’ai compris que ce n’était pas le prénom qui me définissait, mais ce que j’en faisais », conclut-elle, lumineuse. Une phrase qui sonne comme une leçon universelle, rappelant que, derrière chaque identité, il y a une histoire unique, faite de choix, de regrets, mais aussi d’acceptation.

Pour ses fans, cette confession apporte une nouvelle dimension à la personnalité de la comédienne : derrière l’image publique, se cache une femme qui, comme tout le monde, a dû apprendre à aimer ce qu’elle est. Et cette vérité, inattendue mais profondément humaine, résonne bien au-delà du monde du spectacle, touchant chacun dans son vécu le plus intime.