La police découvre de nombreux détails effrayants liés à la mort de Jean Pormanove

Video - Cảnh sát, tư pháp và tin tức | TF1 INFO

Un choc pour toute une génération connectée

Le monde du streaming français est en état de sidération. Jean Pormanov, plus connu sous le pseudonyme DJP, de son vrai nom Raphaël Gravant, a été retrouvé mort dans la nuit de dimanche à lundi, à Comte, près de Nice, dans les Alpes-Maritimes. Il avait 46 ans. Avec plus de 500 000 abonnés sur TikTok, Twitch et la plateforme KCK, l’homme faisait partie des figures incontournables d’une scène numérique où la frontière entre divertissement, excès et scandale s’efface parfois dangereusement.

Une communauté en deuil, des réseaux en ébullition

Dès l’après-midi de lundi, la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Son entourage a confirmé le décès, provoquant une pluie de messages de condoléances sur les réseaux sociaux. Certains influenceurs proches, comme Naruto Owen, ont publié des hommages bouleversants :

« J’ai toujours redouté le jour où je devrais écrire ces mots. Malheureusement, cette nuit, JP, Raphaël Gravant, nous a quittés. Je vous demande de respecter sa mémoire et surtout de ne pas partager les images insoutenables de ses derniers instants. »

Mais ce sont précisément ces images qui agitent la toile. Une vidéo glaçante, issue d’un live nocturne, circulerait depuis plusieurs heures : on y apercevrait un homme ressemblant à Pormanov, allongé sur un matelas, recouvert d’une couette, inerte, tandis que d’autres hommes tentent de le réveiller en vain. L’un d’eux lâche même une phrase devenue virale :

« Il est vraiment dans une position chelou… »
Avant que le live ne soit brutalement coupé.

Une enquête judiciaire ouverte

Contacté par Le Parisien, le parquet de Nice a confirmé le décès d’un homme dans un local loué pour des lives de jeux vidéo, sans en préciser immédiatement l’identité. Une enquête a été confiée à la brigade de recherche de Nice.
Le parquet reste prudent :

« À ce stade, il n’y a rien de suspect. Les auditions sont en cours et une autopsie sera pratiquée. »

Officiellement, aucune piste criminelle n’est retenue, mais l’atmosphère trouble autour de cette mort nourrit toutes les spéculations.

Un personnage controversé

🔆 Cảnh sát phát hiện nhiều chi tiết rùng rợn liên quan đến cái chết của Jean Pormanove

Car Jean Pormanov n’était pas seulement un streamer adulé par une génération de gamers. Il était aussi une figure controversée, habituée des défis extrêmes et des collaborations sulfureuses. Ces derniers mois, son nom revenait régulièrement dans les colonnes des médias spécialisés pour des raisons moins glorieuses.

En janvier dernier, lui et d’autres influenceurs, dont Naruto et Safin, avaient été placés en garde à vue dans le cadre d’une enquête préliminaire pour violences sur personnes vulnérables, après un article accablant de Mediapart.
Les journalistes avaient mis en lumière des vidéos tournées dans le même local de Comte : on y voyait Pormanov et une autre personne en situation de handicap subir des humiliations en direct, sous le regard hilare d’autres streamers.

Si Pormanov avait nié toute infraction et clamé son innocence, l’ombre du scandale n’avait jamais cessé de planer.

Une ascension fulgurante

Pourtant, l’histoire de Jean Pormanov avait tout d’une success-story numérique. Inconnu il y a à peine cinq ans, il avait su construire un univers hybride, mélange de gaming, de performances musicales et de défis spectaculaires. Ses lives attiraient régulièrement des dizaines de milliers de spectateurs.
Sa marque de fabrique : un mélange de provocation, d’adrénaline et de mise en danger volontaire, qui faisait autant frissonner qu’il inquiétait.

Dans une industrie où l’attention se monnaie à coups de buzz, Pormanov avait compris avant tout le monde que le scandale est un carburant. Mais ce carburant a peut-être fini par l’engloutir.

Les zones d’ombre

Les questions demeurent :

Était-ce un accident lié à un excès ?

Y a-t-il eu une négligence grave des autres présents lors du live fatal ?

Ou s’agit-il d’un simple malaise tragique, amplifié par la caisse de résonance des réseaux sociaux ?

Pour l’instant, les autorités temporisent. Mais le public, lui, s’emballe. Sur Twitter, TikTok et Reddit, les théories s’entrechoquent, entre drame banal et complot sordide.

Une mort sous les projecteurs

Rares sont les décès de personnalités numériques ayant suscité une telle émotion en France. Les internautes, souvent jeunes, qui avaient grandi avec ses streams, parlent d’un « vide générationnel ».
Un message résume bien l’état d’esprit :

« On l’aimait, on le détestait parfois, mais on ne pouvait pas l’ignorer. C’était un des nôtres. »

Et après ?

L’autopsie, attendue dans les prochains jours, devrait livrer les premières réponses. Mais l’affaire révèle déjà quelque chose de plus profond : la brutalité du monde du streaming, où l’exposition permanente peut tourner au cauchemar, et où les frontières entre spectacle, vie privée et tragédie sont de plus en plus floues.

Jean Pormanov laisse derrière lui une communauté partagée entre la peine, le malaise et la fascination morbide. Son décès s’inscrit dans une série d’événements qui interrogent : jusqu’où peut-on aller pour divertir, choquer ou retenir l’attention ?

Conclusion

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La mort de Jean Pormanov n’est pas seulement celle d’un homme de 46 ans. C’est le symbole d’une génération numérique en quête de limites, parfois incapables de les tracer. Et c’est peut-être là, dans ce brouillard entre gloire et déchéance, que se trouve la clé de ce drame.

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