Emilio (The Voice) LANCE UNE BOMBE : Voici pourquoi il a choisi l’équipe de Florent Pagny – ‘Je vois…’

Emilio (The Voice) RÉVÈLE la raison pour laquelle il a choisi l’équipe de Florent Pagny : ‘Je vois….’

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EXCLU Emilio (The Voice) livre “quelque chose qui n’avait pas encore été fait” dans l’émission

Particulièrement nulle en mathématiques à l’école, mon parcours professionnel m’a naturellement conduit vers la voie de l’écriture. Un BAC L en poche, j’ai décidé de mettre mes compétences au service du journalisme et je me suis rapidement dirigée vers le people. Et plus particulièrement vers les personnalités télé.
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Dans “The Voice” ce samedi 22 février, Emilio a fait forte impression lors des auditions à l’aveugle. Le jeune chanteur de 24 ans originaire de Belgique a réussi à se qualifier après une émouvante prestation qui a fait se retourner trois coachs sur les quatre. Contacté par “Purepeople.com”, il s’est confié sur cette expérience stressante mais inédite qu’il a réussi à mettre en place.

Une nouvelle salve d’auditions à l’aveugle a eu lieu dans The Voice ce samedi 22 février. Face aux coachs Zaz, Patricia Kaas, Florent Pagny et Vianney, c’est le jeune Emilio qui s’est notamment démarqué. A 24 ans, le chanteur qui vient de Belgique a réussi à se qualifier pour la suite de l’aventure en reprenant le titre Cambodia de Kim Wilde. Ce sont même trois coachs sur quatre qui se sont retournés pour lui.

En interview pour Purepeople.com, Emilio se confie sur cette première consécration, sur son évidence à choisir Florent Pagny en tant que coach ou encore sur la force que lui a donnée son père disparu.

Pourquoi vous êtes-vous lancé dans l’aventure The Voice ?

Je me retrouvais dans une phase de ma vie où j’avais un peu délaissé la musique au profit de l’école, j’étais rentré dans une sorte de routine. Et j’avais besoin de me lancer un nouveau challenge. Délaisser la musique n’est pas de ma nature parce que ça a toujours fait partie de ma vie, c’est limite mon oxygène et là j’avais vraiment besoin d’ouvrir un nouveau chapitre.

Vous a-t-on contacté pour rejoindre le casting ? 

Oui, j’ai été contacté par une personne de l’équipe du casting de Bruno Berberes. Je suis très touché et honoré qu’on ait pensé à moi. Je pense qu’ils m’ont repéré via les réseaux sociaux où je poste des covers.

Auparavant, vous aviez déjà participé à The Voice Belgique, c’était en 2016. Comment cela s’était passé ?

Pour mon audition à l’aveugle, je venais d’avoir 16 ans. Donc j’étais le plus jeune de ma saison et à l’époque, c’était un grand challenge, c’était ma première grande scène et la première fois que je me confrontais à la vie professionnelle donc j’en retiens beaucoup de stress (rires). Mais ça a été une expérience folle et j’en suis ressorti grandi. J’ai appris à connaître un peu ma voix et à gérer le stress donc ça n’a été que du positif.

Comment avez-vous choisi le titre de votre audition à l’aveugle ? 

Je voulais offrir quelque chose qui n’avait pas encore été fait, faire une chanson un peu inédite donc j’ai recherché dans les mélodies et chansons que je connais et on a choisi Cambodia en version piano/voix. Au niveau des paroles, c’est une histoire assez sombre et mélancolique, c’était très fort et la mélodie est très intéressante donc j’ai proposé ça à l’équipe de direction artistique et j’ai été très content que ce soit validé tout de suite. Je voulais aussi apporter ma touche et la refaire à ma sauce, et on a modifié le tempo pour que ce soit très aérien et épuré.

Les coachs mettent du temps à se retourner durant votre prestation. Que vous dites-vous à ce moment-là ? 

C’est un gros moment de solitude (rires). J’étais assez relax toute la journée mais en mettant les pieds sur cette scène, je me suis laissé emporter par plein d’émotions. Je commence à chanter et les notes ne sortent pas comme elles devraient sortir donc ça remet un petit stress en plus. Et donc quand je vois que personne ne se retourne, je me dis : c’est pas grave, tu vas rentrer en Belgique ce soir. Mais je voulais partir avec un souvenir positif, en ayant donné le maximum. Et je pense, qu’il y a eu un déclic à partir de ce moment-là et j’ai pu lâcher prise et chanter pour le public sans me focaliser sur les coachs. Donc il a fallu un peu de temps pour canaliser toutes mes émotions mais j’espère que pour mes prochains passages, je gèrerai mon stress à ce niveau-là.

Finalement, Zaz, Patricia Kaas et Florent Pagny se sont retournés in extremis. C’est le soulagement ? 

J’entends les gens applaudir et crier, je ne comprends pas du tout ce qu’il se passe. On a l’impression d’être derrière la télé, c’est assez flou mais quand je les vois retournés, c’est une vraie validation. J’étais très content.

Vous avez une voix particulière et féminine, d’ailleurs Florent Pagny a pensé que vous étiez une femme. Comment le vivez-vous ?

Pendant un moment, c’était peut être un complexe. Ce n’est pas la première fois qu’on me dit que j’ai une voix un peu androgyne. Mais maintenant, c’est devenu une de mes forces et je suis très content de pouvoir assumer cette voix qui est la mienne. C’est avec elle que je peux partager des émotions et me libérer à 100%. Donc, quand on compare ma voix à une voix féminine, je le prends très bien.
Florent Pagny en coach, “c’était logique et instinctif”
Face aux trois coachs prêts à vous recevoir dans leur équipe, le choix a-t-il été dur à faire ?

Ça fait des années que je regarde l’émission et j’ai vraiment pris l’habitude de voir les équipes de Florent Pagny et j’étais sûr à 200% que s’il se retournait sur ma prestation, j’irai avec lui. Après, j’ai essayé de ne pas me faire trop de pronostics et je voulais entendre les retours sur ma performance avant de prendre une décision.

Vous avez finalement bel et bien choisi Florent Pagny.

C’était logique et instinctif pour moi d’aller dans son équipe, j’ai ressenti avec lui une connexion un peu plus forte. Et puis, ses paroles m’ont touché et Florent Pagny ça reste le patron (rires). On me dit souvent que dans son équipe il y a les plus grandes voix de la saison, les plus performantes donc je me dis que je vais être dans une équipe de titans et que je vais être le plus petit. Mais je suis vraiment très très content.

Comprenez-vous à ce moment-là que vous intégrez officiellement The Voice ?

C’est tellement d’émotions d’un coup qu’on n’y croit pas. Il y a eu un long moment de réalisation. Même encore aujourd’hui, je ne crois pas avoir réalisé à 100%. Il a fallu le temps de redescendre mais c’est un sentiment de validation.

Vous confiez dans votre portrait avoir perdu votre papa à l’âge de 12 ans. C’est très jeune. Comment vous êtes-vous construit suite à cette disparition ?

Mon papa, ça a été le premier à m’inciter à chanter, avec ma maman. Et quand on perd un proche, on a une facilité à se connecter avec ses émotions, on est peut être plus en phase avec les histoires qu’on raconte en chanson. Quand je chante, je pense toujours à lui, j’aurais adoré qu’il puisse me voir mais d’une façon je sais qu’il est quand même là dans mon cœur. Je ne sais pas si je serai là aujourd’hui s’il ne m’avait pas autant incité à chanter, je lui en suis vraiment très reconnaissant et je suis très heureux de pouvoir chanter sur des telles grandes scènes.

Vous étudiez le management du tourisme à Bruxelles. Quelles dispositions avez-vous prises pour vivre l’aventure The Voice ?

J’ai continué mes études, j’ai dû m’absenter pendant le tournage simplement et j’ai gardé ma participation secrète auprès de tous mes camarades de classe. Mais j’ai réussi tous mes examens après le tournage.

De quelle carrière rêvez-vous ?

Mes influences principales, c’est la pop en anglais mais je suis de plus en plus ouvert à chanter en français. Le piano/voix, les balades, j’aime beaucoup et c’est plutôt mon répertoire. Je pense que c’est un style musical qui me permet de transmettre un maximum d’émotions.

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