C’est l’un des nouveaux agriculteurs de “L’amour est dans le pré 2025”. Laurent s’est lancé dans l’aventure après avoir eu le coeur en mille morceaux. Comme il l’a confié à Karine Le Marchand lors du tournage de son portrait, il a perdu son épouse Françoise, des suites d’une maladie.
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Le 13 janvier, L’amour est dans le pré 2025a officiellement démarré avec la diffusion des premiers portraits de la saison. L’occasion de notamment découvrir Antoine, Denis ou encore Océane. Et pour les plus curieux qui ne souhaitent pas attendre jusqu’à lundi prochain pour en voir de nouveaux, l’épisode 2 est d’ores et déjà disponible sur M6+. Ainsi a-t-on pu découvrir Laurent, “un homme de 58 ans au coeur brisé” précise Karine Lemarchand en voix off.
Depuis pas moins de trente-six ans, Laurent élève des brebis sur son exploitation de 230 hectares. “J’aime mon métier, je suis passionné“, a-t-il précisé. Une passion née grâce au frère de sa maman, dont il a repris le terrain après sa mort. Avant cela, il était ouvrier agricole. Il y a fait la rencontre de son épouse Françoise. “C’était vraiment très fusionnel. On a travaillé ensemble. On était un couple indestructible“-a-il confié à la présentatrice. Tous deux se sont mariés en 1991 et un an après, ils ont accueilli Guillaume. C’est ensuite Camille qui a pointé le bout de son nez. Si cette dernière est devenue ambulancière, son frère a “attrapé le virus de l’agriculture” et a rejoint ses parents sur l’exploitation. Désireux de se diversifier, ils ont acheté des vaches allaitantes Aubrac.
Laurent face à la mort brutale de son épouse Françoise
Laurent pense bien évidemment tous les jours à Françoise, qui repose sur ses terres. Mais la solitude lui pesant de plus en plus, il a souhaité tenter L’amour est dans le pré afin de retrouver l’amour. Il est soutenu par ses amis dans sa démarche. Et l’une de ses proches espère qu’il rencontrera… “des femmes qui sont coquines“.
Laurent souhaite simplement être de nouveau heureux. Avec son épouse, ils s’étaient promis que si un jour la mort les séparait, ils ne s’empêcheraient pas de refaire leur vie, car “la vie seule, ce n’est pas possible“. Une dernière volonté qui on l’espère, se réalisera. L’agriculteur “aime bien les brunes“, grandes, qui ont la cinquantaine, tactiles, qui ne fument pas et qui cuisinent. Si elles ont déjà des enfants, cela ne le dérange aucunement. Il a précisé qu’il était à 10 kilomètres de la ville et donc, qu’il fallait son permis.
“Je peux donner beaucoup d’amour et je peux être aussi chaud que ma cheminée“, a-t-il conclu.