Présente dans L’amour vu du pré ce lundi 20 janvier, Évelyne, l’épouse de Philippe de la saison 15 de L’amour est dans le pré, a été particulièrement touchée par l’histoire de Géraldine.
La découverte des nouveaux agriculteurs de la saison 20 de L’amour est dans le pré continue ! Cette année, ils sont quinze — douze hommes et trois femmes âgés de 26 à 67 ans — à confier leur destin sentimental aux caméras de M6. Avant de s’embarquer dans cette folle épopée, ces agriculteurs se dévoilent au cours de trois soirées de portraits depuis le 13 janvier. Après Jean-Louis A, Océane, Denis, Mathieu et Antoine, c’est au tour de Jean-Louis C, Laurent, Géraldine, Samuel et Anthony de se présenter à Karine Le Marchand et aux téléspectateurs et téléspectatrices (et peut-être futur(e)s prétendant(e)s). Et certains ont particulièrement touché le cœur des anciens du programme de dating, invités à débriefer en deuxième partie de soirée dans L’amour vu du pré.
“On ne guérit jamais totalement” : les doux mots d’Évelyne à propos de l’éducation autoritaire de Géraldine (L’amour est dans le pré 2025)
D’abord sous le charme des alpagas de Géraldine, les agriculteurs ont aussi fondu pour l’éleveuse de 49 ans. “Elle a l’air toute douce, toute gentille”, commente Muriel, ancienne prétendante de Renaud découverte l’année dernière dans le programme. “Je pense que c’est une femme très affectueuse”, analyse ainsi Gilles dit Gillou, participant de la saison 19 de L’amour est dans le pré. Et ils ne tarissent pas non plus d’éloges sur son physique, d’autant que la quadragénaire souffre d’un terrible manque de confiance en elle. La cause ? L’éducation très autoritaire de son père qui a complètement régenté sa vie. “Ce genre de blessures-là, on peut apprendre à vivre avec, mais on ne guérit jamais totalement”, assure Évelyne, qui file aujourd’hui le parfait amour avec Philippe, candidat de la saison 15. Fidèle à son franc-parler et à son sens de l’analyse, la Suissesse émet un souhait pour les prétendants de Géraldine : “C’est bien si ce sont des messieurs qui ont un tout petit peu de psychologie, quand même !” “Et il y en a, il y en a plein !”, assure-t-elle.
“Ça m’aurait fait du bien” : Évelyne (L’amour est dans le pré 15) se confie sur son enfance
Pour “remonter la pente”, Géraldine a pu compter sur l’amour indéfectible d’un animal, son cheval Indiana. “Au-delà d’être mon cheval, il a été mon meilleur ami, mon confident, mon médecin… Aujourd’hui, il est parti”, raconte Géraldine, les larmes aux yeux et dans la voix. Un passage qui laisse sans voix Évelyne qui, à son tour, se met à verser quelques larmes. “Je suis sensible aux animaux, je crois”, souligne-t-elle. “Mais c’est vrai que la fidélité, l’amour d’un animal, c’est un amour tellement gratuit et particulier… Moi, il m’aurait fallu un animal quand j’étais petite. Ça m’aurait fait beaucoup de bien”, poursuit Évelyne, en essuyant ses larmes.
