Patrick Bruel se confie sur son nouveau projet, entre nuits blanches et stress intense. Découvrez pourquoi ce défi lui cause autant de soucis.
Lancé en juillet dernier, l’hôtel cinq étoiles à L’Isle-sur-la-Sorgue de Patrick Bruel est plus contraignant que prévu. L’artiste parle de stress, de fatigue et même de nuits blanches. Détails…
Personnage au multiple talent, Patrick Bruel n’est pas seulement un chanteur légendaire. Il est également un entrepreneur avec de nombreuses victoires à son actif. Restaurant music-hall à Paris, production d’huile d’olive, de vin, son dernier bijou est l’hôtel 5 étoiles qu’il a ouvert à L’Isle-sur-la-Sorgue. Nommé L’Isle de Léos, l’artiste y a consacré ces 7 dernières années.
L’hôtel de luxe a ouvert ses portes, le 10 juillet dernier, dans le village où Patrick Bruel réside. Un endroit qui a su le charmer puisqu’il y a trouvé refuge durant deux décennies. Cet endroit somptueux dispose de 49 chambres dont 11 suites. Restaurant gastronomique, un grand bar, piscine extérieur, espace détente… Tous les ingrédients pour un séjour inoubliable y sont réunis.
Patrick Bruel : plus de stress que prévu !
Si l’endroit est magnifique, le travail que Patrick Bruel a dû fournir derrière est tout simplement gigantesque. Dans l’émission 50’ Inside, sur TF1, le chanteur de Casser la voix a révélé les coulisses de ce projet pharaonique, le samedi 23 août dernier. D’emblée, l’artiste avoue qu’il n’avait pas ménagé ses efforts pour transformer l’usine du XIXe siècle en hôtel de luxe.
Des efforts conséquents qui viennent avec son lot de stress. “Je ne pensais pas que cela engendrerait autant de nuits blanches, autant d’énergie, autant de responsabilités, autant de stress…“, a-t-il confié avec franchise. Compréhensible quand on sait que l’acteur et producteur de 66 ans a supervisé chaque détail pendant ces 7 années.
Patrick Bruel : “…un cœur à bien faire les choses”
Totalement investi dans son projet, Patrick Bruel s’est même transformé en décorateur. Après tout, les antiquités, les œuvres d’art, il les a dégotés en faisant le tour des 250 brocanteurs locaux. “Je me suis pris au jeu de la décoration au fur et à mesure du projet“, a-t-il confié sur ce projet qui lui a, sans doute, demandé des efforts titanesques.
Malgré tout, “Ça me fait plaisir… et j’apprends“, sourit-il. Même s’il est nouveau dans le domaine de l’hôtellerie, il semblerait que cette aventure commence sur des notes positives pour le père de famille. “J’ai à cœur de bien faire les choses“, avoue-t-il avec des yeux brillants de mille éclats.