L’amour est dans le pré : cette prétendante “très libertine” de Pierrick fait monter la température, “Tu es un coquin”
Cette prétendante a fait monter la température lors d’un tête-à-tête vraiment chaud dans l’Amour est dans le pré !
Dans L’amour est dans le pré 2025, une prétendante a littéralement fait grimper le mercure face à un agriculteur breton. Comme le rapporte Allociné, dès l’épisode 2, le ton a été donné lors d’un rendez-vous sans filtre.
Après des confidences crues, une petite phrase a fait mouche : « Tu es un coquin ». Alors, si Pierrick, 62 ans, s’attendait à des échanges directs… il a été servi. Certes, l’éleveur n’a jamais caché qu’il cherchait une femme joueuse. Mais, certaines candidates ont pris le message au pied de la lettre.
Chez Pierrick, une prétendante assume ses envies dès le speed-dating
Pierrick avait prévenu dès son portrait qu’il voulait rencontrer une femme “coquine”. « Je suis un joueur. (…) Pas dans le noir, la lumière éteinte », confiait-il à Karine Le Marchand. L’éleveur de vaches laitières et de poules, installé en Bretagne, n’a pas été déçu par le casting. La prétendante Valérie, sexagénaire bretonne elle aussi, s’est imposée comme un véritable coup de cœur : très tactile, elle a affirmé qu’elle « ne refuse aucun plaisir dans la vie ». Entre eux, l’alchimie des premiers échanges par courrier s’est confirmée en face à face.
Même impression face à Livie, 52 ans, venue de Suisse, qui lui « avait tapé dans l’œil dès l’ouverture du courrier ». Elle s’est présentée comme très tactile, parfois surprenante et « très libertine ». Là encore, l’aisance et la franchise ont plaidé en sa faveur. Pour Pierrick, ces deux profils cocheraient toutes les cases de ce qu’il recherche… sur le papier. La suite de l’aventure dira si le quotidien confirme l’étincelle du speed-dating.
Quand chaque prétendante y va franco : des échanges sans tabous
Au-delà de ses deux coups de cœur, Pierrick a enchaîné les rencontres avec des profils qui n’ont pas mâché leurs mots. Agnès, employée de grande surface, a lancé : « Je suis faite pour utiliser mes mains. Je suis ambidextre. » De quoi faire sourire l’éleveur, qui ne cachait pas son goût pour la séduction assumée. Même tonalité avec Jacqueline, aide-soignante, sur la question de l’intimité. Comme lui, elle n’aime pas faire l’amour dans l’obscurité. « Je n’ai pas honte de mon corps », a-t-elle affirmé.
Christelle, factrice, a misé sur la clarté : elle s’est dite ouverte et sans tabous. Dans ce ballet de confidences, chaque prétendante a finalement tenté de se positionner face à un homme qui savait exactement ce qu’il voulait entendre. Si la franchise crée l’étincelle, elle met aussi la barre très haut dès le départ.
Hélène, la prétendante la plus audacieuse
La rencontre la plus brûlante est venue d’Hélène, apprentie sophrologue. Elle a immédiatement planté le décor : « La première chose que je me suis dit en te regardant c’est : “Toi, tu es un coquin.” » Enchaînant sur sa vision de la sensualité, elle a poursuivi : « Le lit ? Pourquoi toujours le lit ? Même pour le côté charnel, il faut être ouvert. » Peu avant la fin, elle l’a carrément testé : « Tu en as déjà fait du libertinage ? » Informée que ce n’était pas son cas, elle a conclu, sûre d’elle : « D’accord. Parce qu’on ne va pas s’étaler, mais je connais bien mon truc. »
Cette audace, si elle a amusé Karine Le Marchand, n’a pas emporté la décision de l’éleveur. Pas de chance pour Hélène : Pierrick passe son tour. Le constat malicieux de l’animatrice résume la scène : « Même si Pierrick n’a pas caché son goût pour la bagatelle, notre aviculteur breton a rencontré quelques amazones plus entreprenantes que lui. » Au final, cette prétendante “très libertine” aura mis le feu au speed-dating sans décrocher le sésame. Mais elle aura révélé une vérité simple : entre paroles crues et désir d’authenticité, Pierrick cherche le bon équilibre.