Faustine Bollaert (VIDÉO) : « c’est mon coin de paradis, ma Bretagne », elle ouvre les portes de sa superbe maison familiale dans les Côtes-d’Armor
Faustine Bollaert ouvre les portes de son refuge breton, un lieu intime et familial où elle aime revenir dès que son emploi du temps le permet.Dans une séquence tournée pour Paris Match, Faustine Bollaert plante le décor d’emblée. « Je vais vous faire découvrir mon coin de paradis, ma Bretagne, direction les Côtes-d’Armor. » Le ton est simple, direct, presque intime. L’animatrice, élue fin décembre 2024 personnalité préférée des Français par TV Magazine, ne montre pas seulement une adresse de villégiature. Elle dévoile un lieu de vie, un ancrage, ce point fixe où l’on revient dès que le calendrier le permet.
Le reportage diffusé le 15 janvier 2025 suit ses pas à Saint-Cast-le-Guildo, commune des Côtes-d’Armor où elle a passé de nombreux moments enfant. À l’année, Faustine Bollaert réside dans l’Oise, près de Chantilly. Mais depuis cinq ans, cette maison bretonne rythme ses vacances et ses week-ends. Elle y vient avec son mari, l’écrivain Maxime Chattam, et leurs deux enfants, Abbie, onze ans, et Peter, neuf ans. L’endroit est proche de la mer, assez grand pour que chacun trouve sa place, et suffisamment simple pour que l’on s’y sente tout de suite chez soi.
Dans la vidéo, Faustine Bollaert raconte ce qu’elle attendait de ce foyer secondaire. « J’adore quand ils font du bruit, je ne rêvais que de ça, avoir une maison où les enfants se sentiraient bien, où il y aurait plein d’amis, où l’on entrerait sans frapper », confie-t-elle. Le projet est limpide, une maison qui vit et qui accueille, une table qui s’agrandit, des allées et venues qui ne s’excusent pas. On comprend que la demeure a été pensée pour le mouvement, pour les rires, pour les retours de plage, pour ces fins d’après-midi qui s’éternisent dans le jardin.
Faustine Bollaert : une parenthèse familiale en toute liberté
Au fil des années, le lieu est devenu un repère pour sa famille proche. Les enfants y ont leurs habitudes, leurs recoins favoris et leurs trajets jusqu’à l’eau. « De toute manière, Abbie et Peter n’aiment rien tant que d’être ici. Ils y sont plus libres que nulle part ailleurs. Là, j’arrive à les laisser se promener seuls sans être angoissée », explique l’animatrice. On mesure ce que la Bretagne signifie pour elle, un territoire familier qui rassure et qui autorise l’autonomie, ce cadre précis où les règles du quotidien se relâchent.
Cette liberté s’est encore vérifiée pendant les vacances de Noël 2025, que la famille a choisies de passer à Saint-Cast-le-Guildo. Le littoral en hiver garde un charme tenace et la maison, chauffée, devient un cocon. Les enfants sortent malgré le froid, les retours s’organisent autour d’un chocolat brûlant, et les journées s’écrivent au rythme des marées. Ici, la météo impose sa cadence mais ne gâche rien. Au contraire, elle donne des repères et des sujets de conversation, elle scande les promenades et les retrouvailles.
Une maison bretonne pensée pour les retrouvailles
Le cercle dépasse le cadre familial immédiat. Plusieurs proches disposent eux aussi d’une maison dans la commune, ce qui rend les retrouvailles régulières et animées, dans une atmosphère simple et conviviale. Les nouveaux venus découvrent alors l’ampleur du clan. La première visite de Maxime Chattam a marqué les esprits : il devait s’arrêter presque à chaque coin de rue pour saluer un parent ou une connaissance. Ce tissu de relations de proximité reflète bien l’esprit du lieu, où les liens familiaux et amicaux s’entretiennent naturellement.