Claude Dartois (Koh-Lanta), sa grande maison avec piscine dans le Gers touchée par un phénomène très embêtant et il ne peut rien y faire
Des vacances presque gâchées ! Alors qu’il est installé dans une belle maison dans le Gers où il peut profiter pleinement des belles températures estivales, Claude Dartois est embêté par un phénomène qui se propage depuis plusieurs semaines et contre lequel il ne peut rien faire.
Lorsqu’il s’est fait connaître en participant à Koh-Lanta, Claude Dartois était chauffeur de maître et vivait à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine. Mais tout a changé il y a quelque temps. Avec sa femme Virginie et leurs deux garçons Andréa (né en 2015) et Marceau (né en 2020), l’aventurier a tout quitté pour embarquer dans une nouvelle vie, loin de la région parisienne.
En effet, Claude Dartois s’est installé dans le Sud Ouest dans une superbe maison entièrement rénovée, plus particulièrement dans le Gers, à une dizaine de kilomètres de Toulouse. Là-bas, il profite d’une région des plus naturelles et son clan a même le luxe d’avoir une grande piscine, idéale en pleine période estivale comme actuellement.
Mais les vacances ont pris une tournure embêtante depuis un petit moment, la faute à des milliers d’insectes. En effet, en story Instagram, il a déploré l’apparition de punaises des champs qui ont envahi l’extérieur de son domicile. “Invasion de puces de colza. Une vraie galère. Le monde part en sucette“, a-t-il écrit en commentaire d’une vidéo de lui en train de se filmer sur sa terrasse, dévoilant au passage des rangées de ces petites bêtes inoffensives mais bien établies sur les murs et le sol.
Deux à trois semaines d’invasion
“La campagne, ça rend ouf. Ah, j’ai une belle terrasse oui, j’ai une belle piscine oui. Mais est-ce que tu as ça toi ? Regarde moi ça, ce tapis noir. J’en ai partout ! Deux à trois semaines d’invasion, c’est trop“, a déploré l’ex-candidat de la Une par ailleurs.
Malheureusement, cette espèce qui se développe dans les champs de colza par temps chaud et sec résiste à tout et il ne semble n’avoir rien à faire pour s’en débarrasser. “L’ARS (l’agence régionale de santé) dit que ces insectes ont une durée de vie de 15 jours. Mais on ne sait pas du tout si ça se reproduit, s’il y a des nouvelles pontes. Donc effectivement, on n’a pas d’idée vraiment de quand ça peut s’arrêter“, a confié le maire de Pins-Justaret, commune proche de Toulouse, à France 3.