“Allô, c’est Françoise”, Éric Antoine reçoit un appel totalement fou depuis la tombe de sa maman
Invité du podcast L’Heure Positive, Éric Antoine est revenu sur l’incroyable coïncidence qui a marqué un tournant décisif dans sa carrière.
Figure emblématique du paysage audiovisuel français, Éric Antoine est l’un des animateurs les plus en vogue de sa génération.
De Lego Masters à Les Traîtres en passant par Le Juste Prix, le quadragénaire enchaîne les projets depuis le début des années 2000.
Récemment, il a même choisi de redonner vie à La Roue de la fortune, pour le plus grand plaisir des nostalgiques.
Éric Antoine marqué par le décès de sa maman
Bien avant de briller à la télévision, Éric Antoine s’est fait un nom sur scène en tant que magicien humoriste. Une passion qu’il n’a jamais vraiment abandonnée.
Et si ses premiers pas dans le show-business ont été semés d’embûches, tout a visiblement basculé après la disparition de sa mère. Un événement bouleversant, teinté de mystère, sur lequel il est revenu dans L’Heure Positive.
“J’ai perdu ma maman il y a presque 20 ans, elle s’appelait Françoise. J’ai eu beaucoup de mal à aller sur sa tombe. La première fois que j’y suis allé, j’ai chialé, je n’arrivais plus à parler et je sens mon téléphone qui vibre et j’entends : ‘Allô, c’est Françoise’. Là, le temps s’arrête. Je me dis : ‘Qu’est-ce qu’il se passe, ce n’est pas possible, je ne connais pas d’autre Françoise, c’est ma maman !’. Et comme une espèce d’arrêt dans le temps justement, cette distorsion du temps qui, pour moi aussi, est une notion du magique, l’intrusion du magique dans la vie, tout s’arrête“, s’est-il souvenu au micro du Média Positif.
Un véritable élan pour sa carrière
Très vite, la magie s’est malheureusement estompée. “Puis la voix reprend et dit : ‘Eric, c’est Françoise Coquet, la productrice de Michel Drucker‘. Et elle me sort cette phrase, elle me dit : ‘On voudrait t’essayer’. Là, je passe des larmes au rire“, a confié Éric Antoine.
Et de conclure : “Le jour où je suis rentré chez Michel Drucker, j’ai fait un premier numéro, standing ovation. (…) Il m’engage et je reste 7 ans sur le canapé. (…) Au bout de 7 ans, je suis en Zénith et je remplis des salles de 6000 personnes tous les soirs“.
Était-ce un simple hasard ou un véritable signe du destin ? Le mystère restera à jamais entier…