Pascal Bataille donne de ses nouvelles après son opération au poumon : “On m’a enlevé un…”

Ce lundi 3 février, Pascal Bataille était de passage sur le plateau de Morandini Live. Face à Jean-Marc Morandini, l’animateur de 64 ans s’est notamment livré sur la récente opération au poumon qu’il a subie.

Au début du mois de janvier, Pascal Bataille avait révélé, lors de son passage sur le plateau de Chez Jordan, sur C8, mener un long combat contre le cancer du poumon.  “Je bénéficie d’un traitement qui associe l’immunothérapie qui permet de booster le système immunitaire et de chimiothérapie, un processus assez dur à supporter pour l’organisme mais que j’ai la chance de vivre très bien”, avait-il confié avec assurance. Plusieurs semaines après cette apparition, l’animateur de 64 ans était, ce lundi 3 février, sur le plateau de Morandini Live. À Jean-Marc Morandini, ce dernier a ainsi levé le voile sur la dernière opération en date qu’il a subie.

Pascal Bataille raconte, en détail, son opération du poumon
Ainsi, lorsqu’il a été questionné sur son état de santé, Pascal Bataille en a profité pour faire des révélations sur sa récente opération du poumon. “J’ai été opéré il y a trois semaines après un traitement d’immunothérapie et de chimiothérapie durant l’automne”, a-t-il fait savoir. Avant d’entrer dans les détails : “On m’a enlevé un lobe du poumon. On devait m’en retirer deux et on m’en a finalement retiré qu’un seul.” Parfaitement remis de cette intervention chirurgicale, l’animateur emblématique de l’émission Y’a que la vérité qui compte a ensuite indiqué qu’il se portait bien depuis et qu’il suivait scrupuleusement les indications des médecins. “Je fais de la rééducation pour récupérer mon souffle et mes capacités pulmonaires”, a-t-il ensuite précisé, enjoué.
Pascal Bataille revient sur son diagnostic

Après avoir évoqué son opération, Pascal Bataille s’est ensuite souvenu des premières expertises qui lui ont été faites. Selon lui, il a fallu neuf mois avant de découvrir qu’il avait un cancer au poumon. “On a pensé à un Covid long, à des allergies, à du reflux gastrique… J’ai passé une radio qui n’a rien donné et on s’est éloigné du diagnostic du cancer”, s’est-il remémoré. Avant de rappeler : “Le dépistage précoce pourrait permettre de faire de gros progrès.”