Mort de Liam Payne : un nouveau suspect arrêté par les autorités

Quelque temps après le décès soudain de Liam Payne, survenu en octobre dernier, une enquête a alors été ouverte par les autorités. Selon les récentes révélations faites par des sources policières proches de l’affaire, un nouveau suspect vient d’être arrêté. On vous dit tout à son sujet !

Au cours de la nuit du 16 au 17 octobre 2024, Liam Payne est décédé brutalement à Buenos Aires (Argentine) après avoir chuté du balcon de sa chambre d’hôtel. Si les premières pistes suggéraient que l’artiste s’était suicidé, des récentes analyses toxicologiques avaient démontré qu’il était, quelques instants avant de perdre la vie, sous l’emprise de la drogue. Une révélation choc qui avait alors encouragé les autorités à ouvrir une enquête judiciaire. Le but ? Découvrir, d’une part, comment le chanteur s’est procuré ses substances, mais également l’identité des personnes qui lui ont fourni de la drogue. Et l’une d’entre elles a récemment été interpellée par les autorités !

Mort de Liam Payne : un jeune homme de 24 ans a été arrêté
En effet, d’après les confidences faites par des sources policières locales proches de l’enquête (citées par l’AFP), un homme de 24 ans est accusé d’avoir fourni de la drogue au chanteur britannique. Il aurait d’ailleurs livré de la cocaïne au chanteur 48 heures avant sa chute mortelle, et aurait passé près de cinq heures dans la chambre d’hôtel de l’artiste, le jour du drame. Mais si son lien avec le chanteur a rapidement été identifié par les autorités, aucune information n’a été communiquée concernant sa potentielle condamnation.
Mort de Liam Payne : qu’en est-il des autres personnes accusées ?

Parmi les autres accusés dans cette affaire judiciaire, on retrouve ainsi le manager de Liam Payne, le directeur de l’hôtel et le chef de réception de l’établissement. Les trois hommes ont été accusés d’homicide par négligence. Mais si le manager du chanteur risque, au Royaume-Uni, quinze ans de prison pour les faits, l’employé et le directeur de l’hôtel argentin risquent, quant à eux, cinq ans d’emprisonnement (en Argentine). Une dernière condamnation qui pourrait également être celle du dernier suspect interpellé.