“J’étais un peu introvertie” : Cécile de France fait de touchantes confidences sur son enfance
La comédienne Cécile de France, actuellement à l’affiche du film Par Amour, en salles ce mercredi 15 janvier, s’est livrée sur son enfance avec émotion.
Invitée du podcast Folie Douce de Lauren Bastide ce mercredi 15 janvier, l’actrice était venue promouvoir le long-métrage Par Amour, réalisé par Élise Otzenberger. Cécile de France, que le public connaît notamment pour son rôle dans L’Auberge espagnole de Cédric Klapisch, a profité de son passage dans le podcast de la créatrice de La Poudre pour partager des souvenirs marquants de son enfance.
Cécile de France évoque ses parents
“Mes parents laissaient libre court à l’expression artistique on va dire et je pense qu’ils avaient compris que ça avaient de la valeur et qu’il faut l’entretenir, le cultiver” a-t-elle confié à Lauren Bastide avant de poursuivre : “Mes parents tenaient un café. Ils étaient très très jeunes et dans la clientèle de ce café, c’était Benoît Mariage, Benoît Poelvoorde, Rémy Belvaux, toute la bande qui a fait ‘C’est arrivé près de chez vous’ et plein d’autres artistes moins connus. J’ai grandi dans cet univers engagé, anarchiste, artistique où l’art c’était très important anti-mondialiste et je crois que ça m’a structurée dans la conviction que j’allais faire ce métier.”
Cécile de France s’est souvenu d’un détail précis qui a marqué son enfance.
“Ça a été très fondateur pour moi, il y avait une affiche dans la camionnette dans laquelle on voyageait, c’était ‘perdre sa vie à la gagner’. On y voyait des usines, de la fumée, un masque à oxygène, une affiche assez dure et je la voyais tous les jours et où je me suis dit qu’ils m’aient inculquée de faire un métier artistique, c’est quand même grâce à leur ouverture d’esprit” a-t-elle confié.
La comédienne a été une enfant rêveuse
Pour ce qui est de son enfance, la comédienne a révélé plusieurs détails sur sa personnalité. “J’étais une enfant très rêveuse. (…) Je m’évadais beaucoup dans mes rêves, j’étais une petite fille très rêveuse, je me souviens souvent à l’école, on me disait ‘Cécile, on est là’. On me disait que j’avais la tête au bout d’une ficelle comme un ballon. J’étais souvent dans mon monde. (…) J’étais un peu introvertie, timide et puis à l’adolescence plutôt l’inverse, puis de nouveau introvertie, ça allait, ça venait, c’est vivant” a-t-elle expliqué avec sincérité.