Lisa Steinway révèle pourquoi elle a failli refuser The Voice après des mois de négociations !
Au cours de la deuxième soirée des auditions à l’aveugle de The Voice 2025, ce samedi 8 février sur TF1, Lisa Steinway a subjugué les quatre coachs. Mais initialement, la jeune femme de 23 ans ne voulait pas se présenter à l’émission. Voici pourquoi…
Avis à tous les fans de The Voice : le célèbre télé-crochet de TF1 est de retour avec une saison 14 ! À l’occasion de l’édition 2025, la production a rassemblé quatre chanteurs emblématiques du paysage musical français. Leurs noms ? Patricia Kaas et Zaz, les deux nouvelles recrues, Vianney qui rempile pour une cinquième saison, mais surtout Florent Pagny. Le taulier aux onze participations fait son grand retour dans l’émission, après une longue absence due à son combat contre le cancer du poumon. Ce samedi 8 février, la Une diffusait le second numéro des auditions à l’aveugle. Parmi les candidats présents ce soir-là : Lisa Steinway, 23 ans, originaire des environs de Toulouse (Haute-Garonne). Pour Télé-Loisirs, la jeune chanteuse s’est confiée sur sa participation.
“Tous les mois, j’avais un appel” : Lisa Steinway explique pourquoi elle a finalement accepté de participer à The Voice 2025
Télé-Loisirs : “Steinway”, c’est votre vrai nom ?
Lisa Steinway : Non, c’est un nom de scène. Pendant le Covid, j’en cherchais un avec mon meilleur ami. C’est lui qui m’a soufflé “Steinway” et j’ai trouvé que ça sonnait bien. Il se trouve qu’en rentrant au conservatoire, une de mes profs de piano – un peu tyrannique – me faisait jouer sur un Steinway. Cette remise à niveau avec elle a eu une grosse importance dans mon parcours d’artiste. J’ai donc trouvé qu’il y avait une vraie symbolique avec ce nom de scène.
Comment avez-vous intégré le casting de The Voice ?
On est venu me chercher via mon compte Instagram, il y a deux ans. C’était étrange car il n’y avait presque rien dessus. J’avais refusé à l’époque, mais la casteuse n’a pas lâché l’affaire. Tous les mois, j’avais un appel d’elle de deux heures. [Elle rit.]
Si vous ne souhaitiez pas faire l’émission, quel a été le déclic ?
Je ne me voyais tout simplement pas du tout avoir ce parcours-là. Je n’avais pas imaginé les choses de cette manière. C’est donc vraiment l’acharnement de la production qui a fini par payer. C’étaient des heures et des heures de négociations au téléphone. Au bout d’un moment, je me suis dit que quand la vie insiste comme ça, c’est qu’il y a quelque chose à faire. J’y ai vu un signe.
Globalement, ils m’ont toujours soutenue. Mes parents avaient simplement peur que je rêve trop grand. Ils me répétaient que si j’arrivais déjà à en vivre avec l’événementiel, ça serait très bien. Mais ça ne me suffisait pas. Je vivrais ça comme un échec. C’est en ayant le courage de partir à l’autre bout du monde pour chanter que mon père a commencé à y croire.
“J’avais l’impression de devenir folle” : Lisa Steinway revient sur ce moment de doute lors de sa participation à The Voice 2025
Votre participation à The Voice les a-t-elle surpris ?
Ils n’y croyaient pas comme je répétais que je ne ferai jamais cette émission. [Elle rit.] Mais même eux trouvaient ça étrange que la production insiste autant. Ils m’ont donc incitée à y aller.
Avez-vous déjà songé à postuler à une version étrangère du télé-crochet ?
Oui, je voulais plutôt faire la version américaine car je colle plus à ce qui se fait là-bas. Mais je n’ai jamais postulé comme je ne souhaitais pas faire The Voice à la base. Si la version française ne m’apporte pas assez de visibilité pour concrétiser mon projet, peut-être que je tenterai les États-Unis.
Êtes-vous satisfaite de votre performance sur How deep is your love durant les auditions à l’aveugle ?
Pas du tout ! Je suis une éternelle insatisfaite. J’étais très stressée et je n’avais pas l’impression d’être là. Juste avant de monter sur scène, je me suis coincé une cacahuète dans la gorge. Elle était complètement en vrac. [Elle rit.] Ça m’a mis la pression. Pourtant, tout allait bien pendant la journée. Sur le plateau, mon cerveau a disjoncté. Je me disais “Qu’est-ce que je fous ici ?”. J’avais l’impression de devenir folle à cause du décor et des lumières. C’était irréel, lunaire. Je me forçais à rester concentrée.
