Dimitri Rassam sans fard sur son divorce avec Charlotte Casiraghi : « J’ai perdu le contrôle »
Quelques semaines après avoir lancé son fonds d’investissement destiné à la production cinématographique, Dimitri Rassam s’est confié comme rarement sur son divorce de Charlotte Casiraghi dans les pages de Paris Match, en kiosques ce jeudi 16 janvier.
Son entourage le dit : la rupture de Dimitri Rassam avec Charlotte Casiraghi a été « douloureuse ». En silence, le couple a choisi de se séparer en février 2024, comme l’affirme le Telegraph à qui la Monégasque a parlé en septembre dernier. Près d’un an après ce difficile au revoir, le producteur de cinéma, qui vient de lancer son fonds d’investissement Yapluka, est plus que jamais passionné par son travail. À cette occasion, il a accordé ses confidences à Paris Match, en kiosques ce jeudi 16 janvier.
Connu pour son extrême discrétion à propos de sa vie privée, Dimitri Rassam s’est épanché comme rarement sur la fin de son mariage avec la nièce d’Albert II de Monaco. « J’ai perdu le contrôle », résume-t-il pudiquement. Le tandem avait pourtant tout pour vivre heureux. Des points communs à la pelle, dont leur amour de la littérature et du cinéma, la perte de leurs pères à quatre ans, la célébrité en héritage… Mais cela n’a pas suffi aux parents de Balthazar pour faire durer leur histoire. « Les contes de fées n’existent pas dans la réalité, mais il faut continuer à croire aux grandes histoires d’amour. Dans un mariage, on sait qu’il y aura des épreuves mais, quand on est jeune, on n’en prend pas pleinement conscience », admet le producteur du Comte de Monte-Cristo.
Dimitri Rassam changé par son divorce « douloureux » avec Charlotte Casiraghi
Aujourd’hui, Dimitri Rassam a changé. Il a appris de ses erreurs passées, même s’il assure qu’il ne ferait « pas grand-chose différemment en termes de choix amoureux » s’il lui était possible de revenir en arrière. Selon ses proches, il sait désormais « ce qu’il veut », est « plus attentif » aux siens et « hiérarchise mieux ses priorités ». Et s’il ne souhaite pas qualifier ses deux mariages d’« échecs », le fils de Carole Bouquet préfère « conserver ce qui est beau » et insister sur ses belles histoires qui ont mis au monde « des enfants merveilleux ». « Avec l’âge, on modifie son regard sur l’amour. Je ne crois plus à la fusion totale et permanente dans un couple. (…) Ma plus forte angoisse n’est pas la peur de l’échec, c’est la crainte de ne rien vivre », conclut-il dans l’hebdomadaire.