Stéphanie de Monaco en Deuil : Un de ses célèbre ex tué dans un cambriolage. La princesse le pleure
Sœur cadette du prince souverain du Rocher, Stéphanie de Monaco serait sous le choc après l’assassinat de Mario Jutard, un ex-fiancé.
La princesse monégasque, qui aurait une relation avec un directeur de cirque, était en couple avec cet homme, Mario Jutard, en 1987, et ce dernier aurait perdu la vie dans des conditions extrêmement violentes en République dominicaine, rapporte le magazine France Dimanche, dans son numéro daté du 4 novembre.
L’infortuné aurait été retrouvé sans vie dans sa villa de « Las Terrenas, sur la péninsule de Samaná en République dominicaine ».
L’ex de Stéphanie de Monaco aurait été tué par des « cambrioleurs qui seraient rentrés chez lui par effraction pour dérober des objets de valeur ».
Selon le rapport de la police nationale dominicaine, le DICRIM, il aurait « été bâillonné puis étranglé à mort ».
Le décès de Mario Jutard, roi de la nuit à Los Angeles pendant une quinzaine d’année, aurait « été provoqué par un traumatisme crânien et une compression manuelle du cou (autrement dit, une pendaison) ». Mais il se pourrait que sa disparition soit liée à son passé trouble. Il aurait été impliqué dans des affaires troubles.
La princesse aurait été engagée dans une relation amoureuse avec cet homme, peu de temps après sa rupture avec l’acteur Rob Lowe. Elle était âgée de 22 ans. Mario avait une quinzaine d’années plus qu’elle.
« Sans doute qu’en apprenant la nouvelle de la mort brutale de Mario Jutard, Stéphanie de Monaco a dû avoir un sacré coup au cœur. On ne partage pas la vie de quelqu’un, ne fût-ce qu’un temps, sans conserver pour lui un attachement sincère », conclut la publication.
La vie sentimentale de la princesse Stéphanie de Monaco n’a jamais été un long fleuve tranquille. Sœur cadette du prince souverain Albert II, la benjamine de la princesse Grace et du prince Rainier III a, depuis sa jeunesse, fait la une des magazines pour ses relations amoureuses souvent atypiques, parfois controversées, et toujours suivies de près par la presse internationale.
Mais ces dernières semaines, un drame est venu raviver un souvenir lointain et douloureux : la mort tragique de Mario Jutard, un ancien fiancé, assassiné en République dominicaine.
Selon le magazine France Dimanche, qui a consacré un article à cette affaire dans son numéro daté du 4 novembre, la princesse serait sous le choc après avoir appris la disparition brutale de cet homme qu’elle avait aimé dans les années 1980. L’histoire remonte à 1987 : Stéphanie, alors âgée de 22 ans, venait de rompre avec l’acteur américain Rob Lowe.
Peu après, elle entame une relation avec Mario Jutard, un personnage charismatique et intrigant, d’une quinzaine d’années son aîné. Directeur de cirque, mais aussi figure bien connue de la vie nocturne à Los Angeles, Jutard était surnommé à l’époque « le roi de la nuit » dans la Cité des anges, où il régnait sur plusieurs établissements réputés.
Leur relation, bien que relativement brève, avait attiré l’attention des paparazzis et des chroniqueurs mondains : on les voyait ensemble lors de soirées mondaines, mais aussi dans des contextes plus inattendus, comme sous un chapiteau de cirque. Pour la jeune princesse, élevée dans un environnement où le protocole princier cohabite avec les projecteurs, cette idylle représentait un mélange de glamour, d’aventure et d’émancipation.
Près de quarante ans plus tard, c’est donc avec stupeur qu’elle aurait appris les circonstances macabres entourant la mort de Mario Jutard. D’après les informations relayées par France Dimanche, le drame s’est produit dans la villa que l’homme occupait à Las Terrenas, sur la péninsule de Samaná, en République dominicaine.
Selon le rapport de la police nationale dominicaine, des cambrioleurs se seraient introduits par effraction dans la demeure, vraisemblablement pour dérober des objets de valeur. La tentative de vol aurait viré au cauchemar : Mario Jutard aurait été bâillonné, puis étranglé à mort.
L’enquête précise que le décès aurait été causé par un traumatisme crânien associé à une compression manuelle du cou — autrement dit, une pendaison ou un étranglement prolongé. Les enquêteurs n’écartent pas la possibilité que ce meurtre soit lié à des éléments du passé de Jutard. En effet, l’homme aurait été mêlé à des affaires jugées « pas toujours très nettes », laissant penser que ses fréquentations ou certaines transactions auraient pu lui attirer de dangereux ennemis.
Pour ceux qui l’ont connu, Mario Jutard était un personnage complexe : à la fois séducteur, ambitieux et entouré de mystère. Sa carrière dans le monde de la nuit, notamment à Los Angeles, lui avait permis de croiser stars de cinéma, artistes et hommes d’affaires influents. Mais cette proximité avec les milieux festifs et parfois interlopes de la nuit californienne pouvait aussi s’accompagner de zones d’ombre.
La nouvelle de sa mort a sans doute remué de vieux souvenirs chez la princesse Stéphanie. Car même si leur histoire appartient à un passé lointain, les liens tissés avec une personne que l’on a aimée laissent toujours une empreinte émotionnelle.
Comme le rappelle l’article de France Dimanche, « on ne partage pas la vie de quelqu’un, ne fût-ce qu’un temps, sans conserver pour lui un attachement sincère ». Dans ce cas précis, cet attachement est désormais teinté d’une tristesse particulière, nourrie par la brutalité des faits.
Pour la Principauté de Monaco, ce drame constitue un nouveau fait divers indirectement lié à la famille princière. Car même si la princesse n’avait plus aucun lien avec Mario Jutard depuis plusieurs décennies, la simple évocation de leur ancienne relation suffit à relancer l’intérêt médiatique.
Stéphanie de Monaco, longtemps surnommée « la princesse rebelle » pour ses choix de vie éloignés des codes traditionnels des cours européennes, a souvent assumé ses relations hors du cadre princier classique : chanteur, garde du corps, artiste de cirque… autant d’histoires qui ont façonné son image publique.
Cette affaire tragique rappelle aussi combien certaines figures du passé, que l’on croyait perdues de vue, peuvent soudain revenir dans l’actualité par des circonstances imprévisibles. La mort de Mario Jutard, survenue dans un décor tropical apparemment idyllique, dévoile en réalité un récit bien plus sombre, où se mêlent violence, suspicion et peut-être règlements de comptes.
Les autorités dominicaines poursuivent leur enquête pour identifier les auteurs du crime et comprendre les véritables motivations derrière ce cambriolage meurtrier. Entre hypothèse d’un vol qui aurait mal tourné et celle d’un acte ciblé en lien avec des affaires anciennes, les investigations devront démêler la vérité.
Pour la princesse Stéphanie, cette nouvelle est avant tout un choc humain, au-delà du tumulte médiatique. Elle rappelle que derrière les titres princiers et les histoires d’amour qui font rêver ou intriguer le public, il y a aussi des destins brisés et des blessures intimes. Le souvenir de Mario Jutard restera sans doute associé, pour elle, à une époque de jeunesse insouciante, désormais irrémédiablement marquée par un épilogue tragique.
En définitive, ce fait divers illustre une réalité que ni la distance ni les années ne peuvent effacer : les liens du passé, même effacés par le temps, peuvent ressurgir à travers des événements inattendus, apportant avec eux leur lot d’émotion, de douleur et de nostalgie. Et pour la princesse de Monaco, c’est une page de son histoire personnelle qui vient de se refermer, brutalement, dans un fracas venu de l’autre bout du monde.