Scandale ! Brigitte Bardot accuse la famille d’Alain Delon de l’avoir emprisonné avant sa mort !
Brigitte Bardot, à l’approche de ses 90 ans, s’est livrée dans une interview téléphonique au Parisien, où elle exprime son ressenti sur la fin de vie de son ami de longue date, Alain Delon, décédé le 18 août dernier.
Bardot se montre particulièrement critique envers la famille de Delon, qu’elle accuse d’avoir isolé l’acteur dans ses derniers moments.
Elle affirme que Delon a été “prisonnier chez lui”, empêché de répondre au téléphone, tandis que sa famille décidait de tout.
Cette situation est pour elle une grande source de frustration, car elle considérait Delon comme son “alter ego”, partageant avec lui une passion pour les animaux et une vie scrutée par les médias depuis leur entrée dans le cinéma.
Les deux stars, qui se sont rencontrées en 1958 lors d’une séance photo, entretenaient une amitié solide malgré la rareté de leurs rencontres.
Bardot se souvient avec émotion de leurs échanges téléphoniques réguliers, notamment pour leurs anniversaires. Leur complicité reposait sur un lien profond et une compréhension mutuelle de la solitude.
Outre la perte de son ami Alain Delon, Brigitte Bardot a également dû faire face à un autre deuil cette année, mais elle continue de faire preuve d’une grande résilience, considérant chaque jour comme “un cadeau”.
À l’approche de ses 90 ans, Brigitte Bardot s’est confiée dans une rare interview téléphonique accordée au Parisien. L’icône du cinéma français, retirée depuis longtemps des plateaux, a accepté d’évoquer un sujet douloureux : la disparition, le 18 août dernier, de son ami de longue date, Alain Delon.
Bardot n’a pas mâché ses mots et s’est montrée particulièrement critique envers la famille de l’acteur. Selon elle, Delon aurait vécu ses derniers mois dans un isolement imposé, « prisonnier » chez lui, empêché de répondre au téléphone, tandis que ses proches prenaient toutes les décisions à sa place.
Cette situation, qu’elle juge profondément injuste, est pour elle une grande source de frustration et de tristesse. « Il
ne méritait pas ça », confie-t-elle, la voix chargée d’émotion.
Pour Brigitte Bardot, Alain Delon n’était pas qu’une figure mythique du cinéma, c’était un véritable alter ego. Les deux stars partageaient de nombreux points communs :
une passion inconditionnelle pour les animaux, une carrière scrutée en permanence par les médias, et cette expérience unique d’avoir été projetés très jeunes dans la lumière, avec tout ce que cela comporte de gloire, mais aussi de solitude.
Leur histoire remonte à 1958, année de leur première rencontre lors d’une séance photo. De ce moment est née une amitié solide, qui a traversé les décennies malgré les aléas de la vie et la rareté de leurs rencontres physiques.
Ils n’avaient pas besoin de se voir souvent pour se comprendre. Leur lien se nourrissait de respect mutuel, de souvenirs partagés, et de longues conversations téléphoniques, notamment à l’occasion de leurs anniversaires respectifs.
Bardot évoque avec tendresse ces échanges, parfois drôles, parfois profonds, où chacun se confiait à l’autre sans crainte d’être jugé.
Elle souligne que peu de personnes pouvaient vraiment comprendre ce sentiment de solitude qui accompagne la célébrité, mais Delon et elle faisaient partie de ce cercle restreint. Cette complicité rare leur offrait un refuge face au tumulte du monde extérieur.
La perte de son ami Alain Delon n’est pas le seul coup dur que Brigitte Bardot ait dû encaisser cette année. Elle a également traversé un autre deuil, dont elle parle avec pudeur, préférant garder certains détails pour elle.
Malgré ces épreuves, elle continue de faire preuve d’une remarquable résilience. Pour elle, chaque journée est un cadeau, et même si le poids des années se fait sentir, elle refuse de sombrer dans l’amertume.
Toujours passionnée par la cause animale, Bardot consacre l’essentiel de son énergie à ses engagements. Ses convictions restent intactes, tout comme son franc-parler légendaire. Mais derrière cette force apparente, l’absence de Delon laisse un vide qu’aucune autre relation ne pourra combler.
À travers ses mots, on comprend que pour Brigitte Bardot, cette disparition n’est pas seulement la perte d’un ami cher, mais aussi la fin d’un chapitre de sa vie, écrit à deux voix, avec une complicité que seule une poignée d’êtres humains peuvent connaître.