Cela semble être un passage d’une histoire captivante où Karim Benzema, l’attaquant français, fait face à une discrimination subtile mais évidente dans une concession Ferrari à Milan. Le propriétaire, Alessandro Bertolini, refuse de reconnaître Benzema en raison de son accent français et lui impose des conditions discriminatoires pour l’achat d’une voiture, comme un dépôt initial de 50 000 € en espèces.
Benzema, toutefois, garde son calme face à cette attitude, et son contrôle, combiné à sa réputation, finit par faire changer d’attitude Bertolini. L’histoire met en lumière les préjugés sociaux que Benzema a dû affronter tout au long de sa carrière, mais aussi la manière dont il a appris à manipuler de telles situations avec dignité.
Il s’agit également d’une illustration de la manière dont les relations de pouvoir, de reconnaissance et de respect peuvent évoluer en fonction des circonstances, ainsi que de la manière dont Benzema, tout en restant fidèle à ses principes, transforme une expérience désagréable en une opportunité.
La scène se termine par un changement notable dans l’attitude de Bertolini, alors qu’il se trouve en face d’un Benzema qui, non seulement est un grand nom du football, mais aussi un client potentiel de poids. Finalement, Benzema choisit de traiter avec un vendeur plus respectueux et authentique, Marco, et conclut une vente importante, tout en laissant une leçon sur le respect et la dignité.