BENZEMA est INSULTÉ par un JUGE ARROGANT, quelques minutes plus tard le juge est MENOTTÉ.

Karim Benzema, l’attaquant légendaire du Real Madrid et Ballon d’Or 2022, se retrouvait plongé dans une situation des plus inattendues et humiliante. Ce jour-là, il se trouvait dans une salle d’audience du tribunal de Lyon, en plein cœur d’une audience portant sur un simple litige administratif concernant un projet immobilier qu’il avait entrepris dans sa ville natale de Bron, en banlieue lyonnaise. Ce projet, destiné à créer un centre communautaire pour les jeunes défavorisés, était pour Benzema bien plus qu’une simple initiative ; c’était un moyen de redonner à la communauté qui l’avait vu grandir.

Mais la situation prit une tournure surprenante et choquante lorsque le juge Philippe Morel, d’un ton méprisant et arrogant, lança des remarques personnelles sur Benzema, insinuant que sa célébrité et son succès à l’international n’étaient pas suffisants pour échapper aux lois françaises.

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“Ce n’est pas parce que vous marquez des buts en Arabie Saoudite que vous pouvez ignorer les lois françaises”, avait-il dit, provoquant un silence lourd dans la salle. Benzema, d’habitude si calme et implacable sous la pression des grands stades, sentit une colère froide monter en lui, bien différente de l’adrénaline des matchs. Mais, contrairement à ce que l’on pouvait attendre, il resta silencieux et impassible, ses yeux rivés sur le juge.

La tension monta d’un cran lorsque l’avocat de Benzema, maître Lambert, se leva, indigné, pour dénoncer l’attitude du juge, affirmant qu’aucune remarque personnelle n’avait sa place dans une audience portant sur une question administrative. Le juge, cependant, balaya d’un geste dédaigneux l’objection de l’avocat, affirmant qu’il dirigeait l’audience comme il l’entendait.

 

Mais quelques minutes plus tard, alors que l’ambiance était déjà tendue, la porte de la salle d’audience s’ouvrit brusquement, et deux hommes en costume sombre, accompagnés d’une femme en tailleur strict, entrèrent dans la pièce. La commissaire Clara Deschamps de la brigade financière se présenta et annonça que le juge Morel faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour corruption, trafic d’influence et obstruction à la justice. En un instant, le visage du juge se décomposa, sa posture de toute-puissance s’effondra, et il fut menotté devant l’assemblée, une scène d’une ironie dévastatrice pour celui qui, quelques minutes plus tôt, avait infligé son mépris à Benzema.

Cette arrestation marqua un tournant. Le scandale provoqué par le juge Morel entraîna une révision accélérée de toutes ses décisions récentes, et les permis nécessaires à la construction du centre communautaire de Benzema furent finalement accordés dans un temps record. Trois semaines plus tard, Benzema se tenait sur le terrain de football du centre, entouré de jeunes enfants.

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Le projet qu’il avait imaginé pour aider les jeunes de son quartier était devenu réalité. Les enfants, admirant leur idole, étaient prêts à jouer, et Benzema, dans un sourire chaleureux, invita un garçon nommé Yassine à tirer un penalty contre lui. Tandis qu’il observait le tir du jeune garçon, il reçut un message sur son téléphone : l’inculpation officielle de Morel avec 11 chefs d’accusation. Le juge risquait jusqu’à 15 ans de prison.

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Mais ce jour-là, Benzema n’était pas là pour se concentrer sur les affaires judiciaires. Il avait réussi à transformer une situation d’injustice en un véritable accomplissement. “La justice finit toujours par triompher, d’une façon ou d’une autre”, pensa-t-il en voyant les enfants jouer. Nabil, son ami d’enfance, commenta ironiquement que l’arrestation de Morel avait en fait facilité l’obtention des permis. Mais Benzema, implacable, répondit que la justice avait fait son travail, et le reste n’était que spéculation. Les batailles importantes, disait-il, ne se remportent pas toujours sous les projecteurs. Parfois, il faut attendre son moment.

Alors que les enfants continuaient à jouer autour de lui, un autre message apparut sur son téléphone, cette fois de Zinedine Zidane : “Fier de ce que tu as fait pour Bron, Karim, la vraie victoire, c’est celle-là.” Benzema sourit. Zizou avait toujours eu le don de trouver les mots justes, et en ce moment précis, ces mots résonnaient plus fort que n’importe quel trophée. Il avait transformé une injustice en un succès, et cet accomplissement, bien plus que tout autre prix, le comblait de fierté.

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