Nathalie Marquay, confidences poignantes 2 mois après la mort de Jean-Pierre Pernaut.

Difficile de se reconstruire après 15 ans de mariage. Deux mois après la disparition de son mari Jean-Pierre Pernaut, Nathalie Marquay se confie à coeur ouvert.

Voilà maintenant deux mois que Jean-Pierre Pernaut s’en est allé. Deux mois que sa veuve et ses enfants font leur deuil tant bien que mal. Invitée de l’émission «50 minutes inside » sur TF1, samedi 21 mai, Nathalie Marquay a accepté de se confier sur cette nouvelle vie compliquée sans sa moitié. Un entretien durant lequel elle a évoqué ce qui lui manque le plus, maintenant qu’elle se retrouve privée de celui qui a partagé sa vie pendant plus de 15 ans.

«On me dit qu’avec le temps ça passe, mais plus le temps passe et franchement non, il me manque. Voilà, je sais qu’il est auprès de moi, mais c’est de ne pas l’avoir dans mes bras, de ne pas pouvoir l’embrasser, de lui dire ce que j’ai fait de la journée, de rire ensemble, de préparer ses petits plats préférés. Je ne suis pas une grande cuisinière, mais ses petits plats… Je le soignais. Voilà, c’est un manque, il est irremplaçable», commente l’ancienne Miss France, sacrée en 1987.

La mère de Lou et Tom (19 et 18 ans) est également revenue sur les «signes» qu’elle ressent depuis des années. «On parlait beaucoup de la mort, Jean-Pierre et moi, il n’y avait pas de tabou. Jamais, jamais sur rien. Donc je disais toujours, surtout le jour où tu partiras, n’oublie pas que moi je capte les signes, donc t’auras intérêt de me faire des signes, sinon je viens t’étrangler», a-t-elle expliqué.

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Le populaire présentateur du JT de TF1 est décédé le 2 mars dernier à l’âge de 71 ans. Touché par un cancer des poumons depuis quatre mois, l’état de santé de Jean-Pierre Pernaut s’est dégradé soudainement en février avec plusieurs AVC. Ses obsèques se sont tenues le 9 mars à la basilique Sainte-Clotilde de Paris, en présence de nombreuses personnalités. Depuis, nombre de fans ont envahi le bourg de Bouvaincourt-sur-Bresle (Picardie), dans l’espoir d’y trouver la tombe de l’animateur .

Après la disparition de Jean-Pierre Pernaut, le monde de Nathalie Marquay a été bouleversé. En effet, perdre son mari après 15 ans de mariage et de complicité est une épreuve difficile à surmonter, surtout lorsqu’on se retrouve dans l’ombre d’un deuil aussi brutal. Le célèbre journaliste et animateur de TF1, reconnu pour son rôle dans le journal télévisé, s’est éteint le 2 mars dernier des suites d’un cancer des poumons, laissant derrière lui une famille éplorée. Deux mois après sa disparition, Nathalie Marquay, visiblement émue et touchée, a accepté de parler de son deuil et de ce quotidien qu’elle doit désormais reconstruire sans l’homme qu’elle appelait son “âme sœur”.

Lors de son interview dans l’émission « 50 minutes inside », la veuve de Jean-Pierre Pernaut a partagé des confidences intimes sur l’immense vide laissé par l’absence de son mari. Elle raconte avec sincérité que, bien que le temps soit censé adoucir la douleur, chaque jour qui passe est une épreuve nouvelle. Le manque de Jean-Pierre est omniprésent, et elle exprime combien il lui manque, en particulier les petits gestes du quotidien : les discussions, les rires, mais surtout la chaleur de ses bras. “C’est un manque irremplaçable”, confie Nathalie, visiblement submergée par l’émotion.

Elle a également évoqué les souvenirs partagés, les moments simples mais précieux qui forgent un couple. “Je le soignais, je préparais ses petits plats préférés”, se souvient-elle, précisant qu’elle n’était pas une grande cuisinière, mais que ces moments où elle prenait soin de lui étaient d’une importance capitale dans leur relation. À travers ses paroles, on ressent l’amour et la complicité qui unissaient ces deux âmes, un amour qui perdure au-delà de la mort.

Mais malgré la douleur, Nathalie Marquay trouve un certain réconfort dans les “signes” qu’elle croit recevoir de son mari disparu. En effet, elle raconte qu’elle et Jean-Pierre avaient l’habitude de parler de la mort sans tabou, abordant ce sujet avec une grande franchise. Elle lui avait même fait promettre qu’il lui enverrait des signes après son départ. “Je capte les signes”, avait-elle dit à son mari, et elle semble bien persuadée que ces manifestations spirituelles sont réelles. Cet échange qu’elle a eu avec Jean-Pierre, dans lequel il lui avait promis de lui envoyer des signes après sa mort, lui permet de surmonter la douleur d’une manière plus apaisée. Nathalie trouve ainsi un lien entre elle et son mari qui persiste au-delà de la séparation physique.

Pourtant, malgré la souffrance, Nathalie tente de se reconstruire. Elle évoque ses enfants, Lou et Tom, qui sont devenus des piliers dans sa vie. Leur soutien mutuel est précieux dans cette période difficile. Elle avoue qu’il y a encore des jours où elle se sent seule, mais la présence de ses enfants et des souvenirs heureux partagés avec Jean-Pierre l’aident à continuer à avancer.

Ce passage difficile a aussi donné à Nathalie la force de poursuivre des projets professionnels. Si la douleur est toujours présente, elle puise dans l’amour éternel qu’elle porte à son défunt mari pour retrouver son chemin. Elle a ainsi repris le chemin de la scène, pour se redonner un but et continuer à honorer la mémoire de Jean-Pierre à sa manière.

La disparition de Jean-Pierre Pernaut a laissé un vide immense, mais Nathalie Marquay montre, avec une grande dignité, qu’il est possible de continuer à vivre, même après une perte aussi profonde. Elle semble vouloir honorer sa mémoire en vivant pleinement, entourée de ses proches, tout en restant fidèle à l’amour qui les unissait.