Il était l’invité de Laurent Karila, pour son podcast “Addiktion”. Florent Pagny s’est confié sans fard sur son ancienne addiction. Il a également dévoilé le produit qu’il s’était préscrit, sans consulter un médecin, afin de combler son manque.
Florent Pagny est notamment de retour sous le feu des projecteurs, avec son retour en tant que coach dans The Voice 2025. Pour l’occasion, il a notamment accordé une interview, sans filtre comme il en a l’habitude, à Laurent Karila pour son podcast Addiktion. Il n’a pas échappé à des questions sur le cancer des poumons dont il a souffert.
“Ma santé ça va”, a-t-il assuré. Toutefois, Florent Pagny est encore très surveillé car il le sait, la maladie peut revenir. Elle est d’ailleurs “revenue deux fois après la première” comme il l’a rappelé. L’époux d’Azucena s’est ensuite souvenu du jour où on lui a annoncé qu’il était atteint d’un cancer : “Le jour où je reçois l’information, tant que je n’ai pas plus d’élément, j’ai un moment un peu de doute, je ne sais pas ce que j’ai réellement. Le lendemain je passe un scan, et j’ai devant moi un interlocuteur qui me donne trois nouvelles et je me dis ‘ok, c’est jouable’, donc je suis pas stress.”
Florent Pagny s’improvise docteur…
Afin de faire face aux effets secondaires de son traitement, Florent Pagny a fait le choix de se tourner vers la médecine chinoise : “C’est celle qui me donne le plus de satisfaction pour tout ce qui peut avoir à côté et à cause des traitements. Comme ce sont des plantes, c’est pas mal, et donc j’ai trouvé un bon médecin. (…) C’est de la médecine naturelle, on n’est pas en train de prendre des médicaments, on prend des gélules avec des plantes dedans. Moi les plantes m’ont toujours fait du bien”, a-t-il poursuivi.
Mais il y a une prescription que le chanteur de 62 ans s’est faite tout seul. Après avoir rappelé qu’il avait arrêté le cannabis car il toussait trop, il a révélé la parade qu’il a trouvée pour combler son manque : “C’était justement la sensation du THC qui commençait à me manquer. C’est pour ça que j’ai évolué avec les gélules. Et tu vas chercher l’huile et tu l’absorbes au lieu de fumer. C’est plus difficile à gérer, mais ce n’est pas plus mal. C’est moi qui me la suit prescrite toute seul. C’est moi le docteur, car c’est moi le malade. A certains moments, je me retrouvais face à un vrai problème lié à une maladie. Je savais que dans d’autres pays, c’était pratiqué et utilisé et qu’ils avaient de bons résultats. En France, on m’a gentiment expliqué qu’on démarrait les études.”