Fauve Hautot et Romain Guillermic : une histoire d’amour et de danse sous les projecteurs de “Danse avec les stars”
Ce vendredi 18 avril, la demi-finale de Danse avec les stars 2025 a réservé aux téléspectateurs bien plus qu’un simple concours de danse. Alors que les cinq candidats restants – Adil Rami, Florent Manaudou, Mayane, Lénie et Jungeli – se disputaient leur place en finale, un moment hors compétition a enflammé le parquet : Fauve Hautot a retrouvé la scène, non pas en tant que juge, mais en tant que danseuse… aux côtés de son compagnon, Romain Guillermic.
Ce duo complice, aussi élégant qu’électrisant, a rappelé à tous la magie de leur première performance commune : celle de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, le 26 juillet 2024. Ce soir-là, sur la passerelle Debilly, Fauve Hautot brillait dans une chorégraphie millimétrée avec un mystérieux danseur en cuir noir. Les fans de Danse avec les stars l’avaient immédiatement reconnu : c’était bien Romain Guillermic, son amoureux.
En février dernier, Fauve s’était confiée dans Un dimanche à la campagne sur cette première scène partagée :
“C’était fou, on n’avait jamais performé ensemble. On se disait : ‘Tu te plantes, tout le monde le voit, tu ne peux pas te planter.’ C’était vraiment un one-shot, il fallait être impeccable.”
Cette intensité, ce trac presque jubilatoire, les a unis encore davantage. Leur rencontre remonte à 2022, lorsqu’ils se sont croisés autour d’une passion commune : la danse. Romain, sacré champion de France de danse électro en 2008 puis champion du monde en 2017, a initié Fauve à cette discipline. Séduite par l’énergie de cet univers, la danseuse iconique de TF1 a accepté de co-présider à ses côtés le jury de la coupe du monde de danse électro, au Palais de Chaillot.
Depuis, leur complicité dépasse le cadre personnel. Ensemble, ils ont fondé Same but Different, leur propre compagnie de danse, célébrée ce vendredi soir par Camille Combal à l’issue de leur prestation.
Ce retour sur scène en duo, entre deux passages de candidats, n’était pas anodin : c’était la preuve vivante que parfois, les plus belles histoires de danse commencent en dehors du parquet… pour mieux y revenir, main dans la main.
