INTERVIEW EXCLU: Malika Ménard RÉVÈLE que le couple désire ardemment un enfant : “On nous a conseillé la méthode…”

INTERVIEW EXCLU – Malika Ménard : ”Avec Karim, on attend un enfant”
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Après son mariage, l’été dernier, l’ancienne Miss France a choisi Gala pour annoncer un nouvel heureux événement : elle va devenir maman pour la première fois en juin ! Elle nous a reçus avec son mari, chez eux, à Paris, pour partager ses émotions. On les avait laissés sur le sable chaud de Tarifa à la mi-juillet, au lendemain d’un mariage de conte de fées. C’est au coeur de l’hiver parisien que nous retrouvons Malika Ménard et Karim, l’homme de sa vie, dans l’appartement proche des Champs-Elysées où ils se sont installés il y a un an.

Un cocon douillet aux teintes claires, que plusieurs luminaires design baignent d’une lumière douce et chaude avec, au milieu du salon, de profonds canapés qui invitent au calme et à la rêverie. L’endroit parfait pour savourer un nouveau chapitre de leur belle histoire. Le plus tendre, sans doute : « Avec Karim, on attend un enfant, révèle Miss France 2010 en nous dévoilant un ventre légèrement rebondi. J’entre dans mon sixième mois de grossesse. Le terme est prévu pour début juin. »

Oubliant quelques heures son activité trépidante, l’homme d’affaires belgo-marocain enlace sa femme d’un geste enveloppant. Pose sa main sur la sienne. A 51 ans, Karim est déjà papa de cinq filles et un garçon mais n’est pas le moins enjoué par cette annonce. « Ce bébé représente elle et moi, la somme de notre amour ! », s’enthousiasme-t-il. Chez Malika, qui va devenir maman pour la première fois, les sentiments se bousculent.

Cette grossesse à 37 ans la comble de joie mais n’était pas une obsession. « Si la fameuse “horloge biologique” est une réalité physique, je ne me suis jamais mis la pression par rapport à ça. Je n’aurais pas pu faire un enfant pour faire un enfant », assène-t-elle.
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Lors de son mariage, la jeune femme nous confiait même que tomber enceinte n’était « pas un projet ». « Depuis qu’on s’est rencontrés avec Karim, on en a envie tous les deux, tempère-t-elle. Mais il avait déjà une famille nombreuse, ce qui m’effrayait un peu au début. Ses deux derniers ont encore besoin qu’on s’occupe d’eux. Son fils a 10 ans et sa dernière fille – très fusionnelle avec nous – seulement 13 ans. C’est beaucoup d’amour à donner et il fallait que je trouve ma place. Finalement, tout s’est fait assez vite et facilement, je suis même devenue très complice de ses filles. » Malika l’admet, le premier trimestre de grossesse a été éprouvant : « J’ai eu beaucoup de fatigue le premier mois, puis des nausées les deux suivants. Moi qui suis très gourmande, j’étais frustrée de ne plus pouvoir manger des huîtres, du fromage. J’ai aussi arrêté le café. Tout me dégoûtait. » « Même le tajine marocain », ajoute avec malice Karim qui, avec Malika, vit la moitié du temps à Casablanca.

« L’autre difficulté, c’est que je ne pouvais pas encore en parler, d’autant moins que je n’ai pas encore au Maroc un cercle d’amis très proches. Je me sentais isolée avec mon petit secret. Mais au quatrième mois, les nausées ont cessé et, surtout, le bébé a commencé à bouger.

Et ça a tout changé. Je sens cette vie qui se développe en moi, il y a une connexion qui se crée, un amour très fort qui naît. Au point que j’ai même oublié complètement les désagréments du début », assure la future maman, heureuse… et stressée à la fois. « Elle réfléchit beaucoup, trop parfois, juge Karim. Elle peut me réveiller au milieu de la nuit en me disant “le bébé n’a pas bougé depuis vingt-quatre heures : est-ce que c’est normal ?” »

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A défaut d’avoir la réponse à toutes ses questions, Karim est à l’écoute des besoins de Malika. Bientôt, elle ne pourra plus prendre l’avion et il continuera seul les allers et retours entre la France et le Maroc. Mais à l’approche du terme, il ne quittera plus Paris. « Je tiens à être là pour la naissance. C’est “le” plus important, tout le reste passera après », assure-t-il.

En attendant, le couple a d’autres préoccupations. Sur une étagère du salon, nous remarquons L’Officiel des prénoms 2025. Malika et Karim connaissent le sexe de l’enfant, qu’ils préfèrent ne pas révéler car tout leur entourage n’est pas au courant. Et s’ils attendent le septième mois pour attaquer la décoration de sa chambre, « par superstition », ils savent déjà comment ils vont l’appeler.

« On est tombés d’accord très tôt sur un prénom qui passe bien dans nos deux cultures, française et marocaine », glissent-ils, mystérieux. Un autre ouvrage trônant dans la bibliothèque attire notre attention, signe que la maternité de Malika ne se cache plus : J’attends un enfant, de Laurence Pernoud.

« C’est la femme de mon frère Raphaël qui me l’a offert à Noël, poursuit-elle. Ils ont un fils de 2 ans et viennent d’avoir une petite fille il y a deux mois. Ma belle-soeur m’a dit “tu vas tout comprendre avec ça”. » Depuis que leurs proches ont été mis au courant, Malika peut compter sur un bel élan de sororité. Au Maroc, c’est la fille aînée de Karim, âgée de 25 ans, qui prend soin d’elle. En France, outre sa belle-soeur, elle peut compter sur les bons conseils de sa… grand-mère maternelle. « Elle avait davantage l’expérience des désagréments de début de grossesse que ma mère, c’est elle qui m’a rassurée. Elle a aimé être enceinte et je la sens très émue. »

Tous ces bonheurs que Malika Ménard vit intensément mettent un peu de baume sur une plaie pas vraiment cicatrisée : le décès de Gilles, son papa, emporté en 2023 par la maladie de Charcot. Lorsqu’on l’évoque, l’émotion affleure dans sa voix. « J’ai vécu deux années éprouvantes émotionnellement durant lesquelles je me suis sentie très seule et impuissante face à son état. C’était le premier homme de ma vie et j’ai mis du temps à faire mon deuil. Maintenant que je suis enceinte, c’est dur de me dire qu’il ne connaîtra pas cet enfant. En même temps, quand on a vu quelqu’un dépérir, on ressent encore plus fort la chance d’être en vie et de vivre de jolis moments. Il y a une chose que je trouve très symbolique : mon père est parti un été, j’ai épousé Karim l’été suivant et mon bébé va naître l’été d’après. Comme un renouveau. Et je suis persuadé que, de là où il est, mon père “sait” que je suis enceinte. »

Curieusement, les nuages sombres qui plombaient le ciel de Paris à notre arrivée ont laissé place à un soleil radieux. La lumière du cocon de Malika et Karim s’est faite encore plus douce et chaude.

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